Critiques de Quand une femme monte l'escalier

J'apprécie Y. Ozu pour ses chroniques familiales, et M.Naruse pour son regard acéré, sans misérabilisme, mais aussi à l'inverse de Ozu, sans échappatoire, ni humour, s'attachant à poursuivre sa ...

mai 2010: Un Naruse plus noir qu'à l'habitude. Il me semble. Ca fait quelques temps que je n'avais pas vu un de ses films. C'est d'abord un joli portrait de femme, incarnée par une Hideko Takamine...

Mikio Naruse et son éternel sujet de prédilection à savoir la femme victime de la Société japonaise et des hommes, et Mikio Naruse avec son éternelle actrice fétiche la charismatique, talentueuse et...

Rarement un cinéaste aura autant mérité le nom d’auteur que Mikio Naruse dont les films sont toujours des hymnes à la condition féminine, à ses rares joies et à ses multiples contraintes, le tout...

Première incursion de ma part chez Naruse. En gros, nous retrouvons ce qui faisait la patte de Ozu, à savoir une peinture du Japon moderne de l'après-guerre, mais ouf, sans l'ennui qui le caractérise...

Ne jamais atteindre les sommets de ses espérances secrètes, trébucher dans une rigole de larmes, rafraîchie par le froid cœur des hommes...Naruse poursuit son travail sur la destruction de la société...

Je viens de voir ce film de Naruse c'est le premier. J'ai beaucoup aimé sa façon de traiter la dramaturgie. Elle nous entraine vers un certain desespoir appuyé par un traitement de l'image fort...

Ce sixième film de NARUSE sur le thème des geishas reprend le ton moralisateur de Shiroi yajū : Toute femme respectable n'aspire qu'à se marier [02'56], Une femme perd son charme si elle commence à...

Mama noie sa solitude à coup de brandy à l'âge critique où elle doit se marier ou acquérir son propre bar.À voler trop haut vous vous brûlez les ailes.Cycle Naruse vu au cinéma.

Sorti la même année que "Les contes cruels de la jeunesse" d'Oshima, bien sombre aussi sur la situation économique du pays. Narration sporadique par Keiko, suggérant une mélancolie résignée. Grande...