Quantum of Solace
le 23 nov. 2014
Permis de Tuer
Cette vingt-deuxième mission pour l'agent Bond, Quantum of Solace, a la particularité d'être une suite directe à son prédécesseur, le remarquable Casino Royale, permettant à l'agent britannique...
SensCritique a changé. On vous dit tout ici.
Quantum of Solace par takezo
La suite directe de Casino Royale est confiée à un un marc Foster qui ne sait pas quoi faire du matériau fourni par le couple Haggis/Purvis et tente de masquer son total manque d'idées et d'implications dans un fatras de références Bournesques, au montage sur-découpé, haché qui mériterait un warning pour les epileptiques. Juste insupportable.
Reste le personnage de Bond, bien campé, qui tise, qui s'envoie tout ce qui bouge sans conviction et balance ses punchlines avec l'air du gars qui se fout de tout. Reste aussi une scène de poursuite à pied pas trop mal fichue qui se termine par un enchaînement mécanique de poulies, de cordes, de poids et de verre brisé, qui n'est pas sans rappeler (dans l'idée seulement) un certain Tsui Hark (oui j'ose).
Reste le personnage de Bond, bien campé, qui tise, qui s'envoie tout ce qui bouge sans conviction et balance ses punchlines avec l'air du gars qui se fout de tout. Reste aussi une scène de poursuite à pied pas trop mal fichue qui se termine par un enchaînement mécanique de poulies, de cordes, de poids et de verre brisé, qui n'est pas sans rappeler (dans l'idée seulement) un certain Tsui Hark (oui j'ose).
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le 23 sept. 2012
Modifiée
le 24 sept. 2012
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