J'ai perdu 2h19 de mon temps, alors je ne vous ferai pas perdre le votre : c'est nul.
Le scénario est écris sur un timbre poste et construit pour étourdir le spectateur sous les références sans aucun souci de cohérence.
Des références qui, de toute façon, ne parlerons qu'aux plus geeks d'entre les geeks tant elles sont nombreuses et étalées sur une longue période de temps.
Une seule chose m'a étonné : l’unanimité de la critique pour dire qu'il s'agit d'une réussite...
Mais j'aurais dû me méfier : Ready Player One a réussi l'exploit de réunir les Cahiers du Cinéma et Mad Movies pour affirmer leur détestation à son égard.