Quel bonheur ! Mais quel bonheur !
Elles y sont toutes ! Toutes les licences, toutes les icônes de la pop culture !
Enfin presque. Il en manque une. Mais même là, le scénario réussit à placer la référence qui va bien.
Vous l’aurez compris, Ready Player One est un film truffé – que dis-je ? – blindé de références.
Tout y passe ; comics, manga, jeux vidéo, films, séries, musique, mode, livres, etc. On est en plein paradis du geek !
Steven Spielberg s’offre même les services d’un Alan Silvestri qui ne se retient pas de nous rappeler les douces notes de ses scores les plus fameux.