6
Schlac !
Un jeune homme qui travaille dans un zoo s'éprend d'une dresseuse de fauves et ensemble, vont partir à Munich pour collaborer ensemble dans un spectacle qui se situe dans un cirque. Le disparition de...
Par
le 17 févr. 2022
4 j'aime
Beaux tableaux colorés, des acteurs qui sentent encore la peinture fraiche
Le réalisateur aime miser sur des inconnus malléables. Trop peut être. Le jeu est souvent forcé, à la limite des acteurs épuisés par des séances de dressages interminables. P Clevenot, excellent, donne le ton, sublime son rôle. Une fin en climax d'une recherche esthétique constante chez Beinex, soucieux de valoriser la plastique de son actrice, bien secondé par son directeur photo.
6
Écrit par
Créée
le 28 mai 2021
Critique lue 449 fois
D'autres avis sur Roselyne et les Lions
7
Les dompteurs
C'est la version de 3h que j'ai pu voir. Film assez particulier encore plus atypique quand on pense que c'est français. L'intrigue est intéressant, moi ça me fait penser à de la BD des années 80...
Par
le 14 nov. 2021
4 j'aime
8
Critique de Roselyne et les Lions par ChrisBur
Un quart de siècle plus tard, "Roselyne et les lions" constitue toujours un cas d'école : la combinaison d'une esthétique décalée et d'une sincérité narrative évidente font de ce très curieux film un...
Par
le 27 mai 2013
2 j'aime
1
Du même critique
6
Escape game artistique
Un thriller qui part sur d'excellentes bases, avant de dériver sur un délire artistique étonnant. La voie des différentes pistes pour s'échapper dérape, s'épuise, est vite négligée. Dommage. La...
le 23 juin 2023
2 j'aime
4
Cinéma (très) jeune
En devenir en tout cas. Des plans interminables qui n'apportent rien à l'histoire, peu construite. La réalisation fait toute la place au naturel des acteurs, malheureusement totalement délestés de...
le 23 juin 2023
2 j'aime
5
Réalisation exceptionnelle, sujet malsain
Une mise en scène spectulaire au service de ce marathon épuisant à travers une décadence réduisant les orgies romaines au rang de rondes enfantines. De pathétiques pantins confits dans la psychose...
le 12 mai 2023
2 j'aime
