La Galice jusqu'à l'hallali
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
89 j'aime
5
Les meilleurs moments de Serial Kelly, premier long-métrage de René Guerra, se trouvent vers la fin avec une version en portugais très particulière du Psycho Killer des Talking Heads, avec des paroles on ne peut plus gratinées. D'ailleurs la B.O du film est excellente et bien adaptée aux aventures déjantées et irréalistes de la "première tueuse en série brésilienne." Un prétexte pour son réalisateur à brocarder la religion, les médias et surtout le machisme ambiant. Un jeu de massacre qui serait réjouissant s'il était un peu mieux maîtrisé, moins vulgaire et obscène, aussi, même si la provocation fait partie du projet. Quant à l'interprétation, il faut hélas déplorer un niveau assez bas et ce, en dépit d'une énergie communicative de son interprète principale qui n'a vraiment peur de rien et assume son physique gargantuesque et sensuel à la fois.
Créée
le 2 oct. 2020
Critique lue 86 fois
1 j'aime
Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...
le 28 mai 2022
89 j'aime
5
Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...
le 25 août 2021
83 j'aime
5
Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...
le 25 sept. 2021
75 j'aime
15