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Ami's spin-off
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le 26 janv. 2012
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On atteint le summum du grand n'importe quoi
Alors que nous pensions avoir tout vu avec The Machine Girl (2008), finalement Noboru Iguchi atteint le summum du grand n'importe quoi avec le spin-off de son précédent film, cela donne un court-métrage de 22 minutes intitulé Shyness Machine Girl (2009), à travers lequel il redonne vie à quelques personnages morts dans le précédent film (où est la logique ?). Mais le pire dans tout cela, c'est l'actrice principale qui joue extrêmement mal, elle se ridiculise (la pauvre est affublée d'une sulfateuse greffé aux fesses, eh oui, il faut le voir pour y croire ! Dans le précédent film, l'actrice principale avait une sulfateuse greffée au bras, cette fois-ci on atteint les limites du grotesque).
Aucun budget, des acteurs qui ne savent absolument pas jouer, des makeup-effects toujours aussi mauvais (sans parler des SFX), une réalisation sans talent, on se demande réellement s'il y avait un intérêt à avoir réalisé ce court-métrage.
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Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes À elles, il ne faut (surtout) pas leurs casser les ovaires !, Les meilleurs films avec des robots et Les meilleurs nanars japonais
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le 2 mai 2011
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