Sirocco d'hiver

1934, en Hongrie. Des patriotes serbo-croates, surnommés "oustachis" préparent, sous la direction d'Ante Palevic, l'attentat qui, quelques mois plus tard, le 9 octobre 1934, très exactement, coûtera la vie à Alexandre de Yougoslavie. Marko Lazar, lui aussi, s'est réfugié en Hongrie. Les autorités l'accueillent en héros. Pourtant Marko sent l'insécurité le gagner : autour de lui pullulent les traîtres, les faux patriotes, les faux gardes du corps, les faux innocents, les faux coupables...