My name is Bond... Fuck Yeah !
Du grand Mendes...
Sans rire, pour moi, qui fait parti de la « jeune génération », Daniel restera comme LE Bond, celui qui a porté la série a son apogée et qui je l'espère va l'y maintenir.
Certes, ce film a ses défauts, mais je n'ai as envie d'en parler, simplement car c'est le genre de film qui surpasse l'écran et dont on ne porte plus attention aux petits défauts de-ci de-là.
Je vais commencer mon éloge par la partie artistique : Putain, c'est beau ! Istanbul, Londres, l'Ecosse et la chine avec ses jeux d'ombres... C’est beau et c'est admirablement filmé, je regrette de ne pas a voir été le voir en IMAX même si je l'ai vu en 4K, mais je compte y retourner d'ici là rien que pour en reprendre plein les yeux.
Le Générique, quant à lui, est juste ouffissime ! Je m'attendais a un générique dans la veine des deux derniers, et en fait pas du tout ! Il est profond, et représente une mise en abyme du film admirable, la chanson d'Adèle que j'avais par avance entendu à la radio se retrouve ici porté par l'image, se plaçant, à mes yeux, au dessus de GoldenEye...
Le Film : Voici que Casino Royal nous avait proposé un reboot de la série, admirable, mais casant les codes antiques du James Bond initié par Sean... Skyfall marque la fin du début, la réapparition de personnages inévitables qui avaient disparus depuis trop longtemps comme Q ou Moneypenny. Mais c'est aussi une profonde percé dans le passé de l'espion ainsi que dans celui d'Emma Mawdsley (la première M, interprété, comme toujours avec brio, par Judit Dench).
Enfin le méchant est, pour la première fois depuis le reboot, vraiment méchant et dangereux, même s'il est moche...
Le film garde ce coté hors du temps, il se permets des références à d'ancien Bond, alors que chronologiquement il se situe en avant.
Dans Skyfall, Bond souffre, Bond meurt, mais Bond, tel un phénix renaît de lui même, et ça fait du bien par ou ça casse !