Il y a de ces dimanches pluvieux où, subitement, provinciale que tu es, tu vas au cinéma, seule, ou mal accompagnée pour passer le temps. Et ce dimanche là, de je ne sais plus quand, j'avais le choix en les Chipmunks et Salomon. Alors j'ai pris le gros guerrier barbu qui avait l'air tellement viril et sexy. Seulement au bout de 35 secondes de film j'ai compris.

Maintenant il ne passe plus au cinéma, et si vous le voyez en DVD, je m'en voudrais que vous gachiez 35 secondes de votre vie pour comprendre que ce film est une daube totale.

En 35 secondes on peut en faire des choses. Bien plus que de lancer le DVD de Salomon Kane.
Elaine
1
Écrit par

Créée

le 23 sept. 2010

Critique lue 548 fois

Elaine

Écrit par

Critique lue 548 fois

D'autres avis sur Solomon Kane

Solomon Kane
SanFelice
6

Diantre ! Mais trucidons sauvagement tous ces démons !

Qu'est-ce qui fait qu'on va apprécier un film tout en sachant que c'est une daube ? je ne sais pas vraiment. Peut-être le sujet m'a-t-il attiré : j'aime beaucoup cette ambiance de Moyen-Age sombre,...

le 4 août 2012

21 j'aime

13

Solomon Kane
Aqualudo
7

Marc Antoine a lu Howard et, finalement, il a bien fait

Alors là, on oublie le terme même de critique. Si je suis totalement cohérent, je colle un petit 4 bien gentil. Ce film, adaptation d'une création d'Howard, le père de Conan (à moins que ce ne soit...

le 4 sept. 2012

18 j'aime

1

Solomon Kane
Eren
5

The Descent

Si j'ai supporté les "Pirates des Caraibes", je vais pas jouer au teubé et j'vais éviter de faire la fine bouche avec Kane le solitaire. Kane le repu de toute barbarie paraît-il. Le film n'est pas...

Par

le 14 févr. 2014

13 j'aime

3

Du même critique

Microfictions
Elaine
10

La méchanceté ne se fabrique pas.

Microfictions, c'est un recueil de nouvelles. Des nouvelles d'une page et demi, deux pages grand maximum, classée dans l'ordre alphabetique, de "Albert Londres" à "Zoo". C'est toujours écrit à la...

le 23 sept. 2010

1 j'aime

1

Solomon Kane
Elaine
1

Salomon Kane, ou "MEREDITH"

Il y a de ces dimanches pluvieux où, subitement, provinciale que tu es, tu vas au cinéma, seule, ou mal accompagnée pour passer le temps. Et ce dimanche là, de je ne sais plus quand, j'avais le choix...

le 23 sept. 2010