(Vu en DVD) (5/10 + 2 pour 20 dernières minutes explosives) Ce film de Wilson Yip, réalisateur quelques années plus tard de l'excellent "Ip Man" (2008), qui met notamment en tête d'affiche Donnie Yen et Sammo Hung, est indéniablement bancal et foutraque: tout du long, l'ensemble semble se chercher péniblement une identité entre polar (avec gun-fights en option), film de kung-fu, voire mélodrame (avec une conception pour le moins sadique de la paternité!). Toutefois, les 20 dernières minutes déchirent et offrent au film une véritable rédemption, avec une conclusion des plus acides. A noter également, le film s'appuie sur d'impressionnants et très vivants décors urbains, pour beaucoup nocturnes!
Créée
le 29 avr. 2020
Critique lue 119 fois
1 j'aime
1 commentaire
D'autres avis sur SPL
Wilson Yip signe avec SPL (2005) un polar sombre d’une violence à la fois extrême et brutale. On retrouve dans ce film un Yip en grande forme entouré d’un casting monstre. Donnie Yen (également...
Par
le 18 janv. 2013
9 j'aime
Depuis que j’ai vu Ip Man l’autre jour, j’ai décidé de continuer à explorer la filmographie de Donnie Yen pour satisfaire mon envie de bons films d’arts martiaux. Mais la différence avec des acteurs...
Par
le 20 juil. 2016
5 j'aime
C’est avec beaucoup d’envie que j'me suis lancé SPL. Envie de high kicks, envie de revoir Donnie et Simon, envie d’un film qui fout la patate. On peut dire que j’en suis ressorti presque rassasié. Le...
Par
le 20 févr. 2014
4 j'aime
2
Du même critique
(Vu en avant-première au Forum des images) L'animation française m'étonnera encore et toujours en bien en pondant régulièrement des pépites à partir de budgets riquiqui (Tout en haut du monde, La...
Par
le 5 juil. 2019
32 j'aime
Cette BD semble rencontrer son petit succès populaire et critique (autant qu'on peut en juger au doigt mouillé en se baladant sur le net). Cela peut déjà s'expliquer un peu superficiellement par une...
Par
le 31 déc. 2017
22 j'aime
25
Si cette série s'était limitée à ses tous premiers épisodes (introduction de l'univers) et à ses trois derniers
Par
le 9 janv. 2018
21 j'aime
25
