La belle au bois dormant aurait dû rester endormi

Disney, je te déteste pour cette suite qui n'aurait jamais dû exister. Je vois déjà d'ici le meeting pour la création du film "dites j'ai une idée fantastique si on écrivais une suite et comme le 4ieme film a eux du succès et qu'on disposait de l'étoile de la mort dans ce chef d’œuvre. On fera encore mieux dans le 7 en construisant la planète de la mort." Bravo pour l'originalité disney après quand on voit que leur fond de commerce actuel est de convertir la plupart des dessins animés en film, on est en droit de se poser des questions. On ne peut que louer la recherche de profit de disney au mépris de l'originalité. Et, puis il y en a marre de l'aspect trop enfantin du film 85 pourcents de la population est âgée de + de 18 alors pourquoi ce focalisé sur les enfants âgés de 7 à 15 ans surtout vu le contraste avec le 3ieme film qui prenait un chemin plus lugubre. En plus, la fausse autre bonne idée fut de mettre des acteurs des premiers obus dans le 7, j'ai envie de dire laisser les à la retraite au lieu de bafouer leur nom via cette ultime film. Après, les personnages principaux sont vraiment inintéressant et ils m'ont soulé à toujours se faire de la lèche. Et, puis le méchant je veux bien que passer après Dark Vador n'est pas chose facile mais je suis dubitative sur l'intérêt qu'on peut lui porter .Après, il a des traits que dark Vador possédait également càd tirailler entre le bien et le mal donc tout n'est pas à jeter comme idée à la poubelle. Bon, je pousse mon ultime coup de gueule sur le méchant "arrêter au début du film une balle de blaster à bout portant" pour ma part je misais de grand espoir en lui vu que même maître yoda le jedi le plus puissant de l'univers n'y arrivait pas et devait ce contenter de les contrer avec son sabre laser. Alors, j'avais de grand espoir en lui mais bon il s'avère que sa formation laisse à désirer donc trouver la logique dans l'histoire. En conclusion, je pensais pas dire ça un jour sur star wars mais film trop long à voir et la médiocrité en ait le moteur principale.