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Reese's angels.
Plus ou moins éjecté de la franchise "Terminator" malgré la bonne tenue formelle de son opus, le clippeur fou McG revient à ses premiers amours, l'actioner décérébré et tape à l'oeil, le tout mixé à...
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le 20 déc. 2013
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Reese's angels.
Plus ou moins éjecté de la franchise "Terminator" malgré la bonne tenue formelle de son opus, le clippeur fou McG revient à ses premiers amours, l'actioner décérébré et tape à l'oeil, le tout mixé à la comédie romantique.
Un sacré retour en arrière pour le cinéaste qui se contente de refaire "Charlie's angels" en y incluant bien entendu tous ses défauts, oubliant ainsi tout ce qu'il avait apprit sur "Terminator Renaissance", accouchant de séquences d'action bouffies et incohérentes, engluées dans une bouillie numérique infâme.
Ce qu'il rate totalement niveau spectaculaire, McG le rattrape plus ou moins en ce qui concerne la comédie. Bien que tout soit calibré, téléphoné et extrêmement gentillet, l'alchimie entre Chris Pine et Tom Hardy est palpable et on prend un réel plaisir à les voir se jeter des bâtons dans les roues pour les beaux yeux d'une Reese Witherspoon rodée au genre.
Mais Hollywood étant malheureusement Hollywood, le final, en plus d'offrir en guise d'apothéose un climax absolument moisi digne d'une série B des années 90, vient annihiler le peu d'impertinence d'un script paresseux avec sa morale foireuse et bien arrangeante. Font chier ces cul-bénis !
Un sacré retour en arrière pour le cinéaste qui se contente de refaire "Charlie's angels" en y incluant bien entendu tous ses défauts, oubliant ainsi tout ce qu'il avait apprit sur "Terminator Renaissance", accouchant de séquences d'action bouffies et incohérentes, engluées dans une bouillie numérique infâme.
Ce qu'il rate totalement niveau spectaculaire, McG le rattrape plus ou moins en ce qui concerne la comédie. Bien que tout soit calibré, téléphoné et extrêmement gentillet, l'alchimie entre Chris Pine et Tom Hardy est palpable et on prend un réel plaisir à les voir se jeter des bâtons dans les roues pour les beaux yeux d'une Reese Witherspoon rodée au genre.
Mais Hollywood étant malheureusement Hollywood, le final, en plus d'offrir en guise d'apothéose un climax absolument moisi digne d'une série B des années 90, vient annihiler le peu d'impertinence d'un script paresseux avec sa morale foireuse et bien arrangeante. Font chier ces cul-bénis !
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le 20 déc. 2013
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