Tau
5.2
Tau

Film de Federico D'Alessandro (2018)

Voir le film

Quand la mayonnaise prend...


Démarrage poussif, mais peu à peu, l'histoire s'étoffe d'une relation entre l'humain et la machine.


La conscience et l'amour ne sont pas l'apanage du biologique, mais bien du sémantique.


L'héroïne se fraie un chemin, vers la sortie.


Alien, Terminator, et 2001.


Alex ? Alex ?

Héraès
6
Écrit par

Créée

le 26 nov. 2018

Critique lue 210 fois

Héraès

Écrit par

Critique lue 210 fois

D'autres avis sur Tau

Tau
EricDebarnot
3

Imbécilité Artificielle

L'Intelligence Artificielle arrive, elle est déjà là dans l'industrie, elle va changer fondamentalement notre existence, nous supplanter sur la Planète, elle ne signifie ni plus ni moins que la fin...

le 9 juil. 2018

17 j'aime

Tau
FRINXXNIRF
5

ça aurait pu être bien...

Belle photo, pas mal de bonnes idées, des acteurs au poil, mais un scénar trop bancal.. En gros un scientifique asocial enlève des gens pour effectuer sur eux des expériences (du déjà vu n'est-ce pas...

le 1 juil. 2018

9 j'aime

4

Tau
joma
7

Le film est plus apaisé que la bande-annonce

Un film touchant qui traite de la conscience et du respect dû à la personne. Je sais, ça paraît un peu bête de dire ça comme ça, mais ces choses fondamentales sont trop ignorées dans notre Société...

Par

le 2 juil. 2018

6 j'aime

Du même critique

Abstract : L'art du design
Héraès
2

Le fascisme de la vanité

Après 28mn de souffrance, j'arrête. Dès les premiers instants, la masturbation intellectuelle qui se dégage du docu est dérangeante, mais après une combinaison de propos vides et prétentieux, je n'en...

le 9 avr. 2017

7 j'aime

11

OtherLife
Héraès
9

Matrix, Inception, et Black Mirror sous DMT

C'est une claque quasi Kubrickienne que je viens de me prendre. Tout dans ce film relève du génie, à commencer par la qualité filmique irréprochable, digne d'un Matrix pour son esthétique, et à la...

le 19 oct. 2017

6 j'aime

3

Mes chers voisins
Héraès
9

Attention : oeuvre d'art qui ne se prend pas au sérieux !

Dès le générique, le style "made in hollywood" se fait sentir, ainsi qu'une touche déjantée propre aux cinéastes amoureux des genres (comédie, drame, gore, nanar) . Vraiment déjantée, on sent tout de...

le 26 juin 2012

6 j'aime