6
Ode au Livre
Ce n’est pas un hasard si c’est le dernier film d’Isabel Coixet, The Bookshop, qui est venu clore le 28ème festival du cinéma espagnol à Nantes. Isabel Coixet est une figure majeure du cinéma...
le 26 mai 2018
9 j'aime
Le plaisir de rêver lorsque l'on referme un livre terminé
Touchant cette histoire, pas mal de jolis plans, et ça (re)donne envie de s'évader dans des livres.
Le scénario est un peu découpé au burin, tant sur l'enchaînement des plans que sur la subtilité de l'intrigue. Le jeu des acteurs est assez inégal.
Cela n'empêche pas, et c'est là une belle réussite, de rester un brin flottant lorsque l'écran s'éteint. Un moment apaisé tel que l'evoquent ces mots aux début du film, décrivant ce moment où l'on termine un livre.
6
Écrit par
Créée
le 3 déc. 2020
Critique lue 52 fois
D'autres avis sur The Bookshop
7
Vipère au poing
Vipère au poing Les années 1950, à Hardborough en Angleterre: Florence est sur le point d’ouvrir une bibliothèque dans une maison désaffectée, ce qui n’est du goût de peu d’habitants, Edmund un...
Par
le 8 janv. 2019
7 j'aime
1
5
Un éloge décalé à la librairie indépendante
Au premier abord, ce film est un peu au cinéma ce que sont les albums de Floch et Rivière à la BD : un exercice de style très soigné qui joue de l’ambiguïté entre un récit dramatique et une...
le 7 janv. 2019
7 j'aime
Du même critique
4
Inégal - un gros budget mal utilisé
Quand on a mobilisé 1000 figurants pour une scène, difficile de se dire qu'elle va durer 30 secondes. Alors Michael vous en met 10 ou 15 minutes, avec les rushs et tout. Forcément ça donne quelques...
Par
le 17 mai 2016
5 j'aime
10
Pour ou contre l'élevage bio ?
Des acteurs, une mise en scène et une photo irréprochables, au service d'une histoire exceptionnelle qui soulève en beauté et avec une grande finesse des questions ultimes d'éthique. Peut-on tracer...
Par
le 16 mars 2016
2 j'aime
7
Indien mais pas que
Avec un formatage de spectateur de films américains ou européens GoW bénéficie d'un certain exotisme sans doute pas voulu. A contrario, on passe à coté de tout un second degré et plein d'allusions...
Par
le 3 avr. 2015
1 j'aime
