Glenn Gould est décédé le 4 octobre 1982, peu après avoir enregistré une deuxième version des Variations Goldberg de Bach, l'œuvre qui l'avait rendu célèbre. À seulement cinquante ans, il lui avait consacré sa vie, faisant de la renonciation à la vie la condition même de son art. Son éthique particulière, de joie, dépouillement et d'esthétique de l'extase ont été le fondement de sa vie.
Sa manière de donner vie à la musique m'inspire toujours.
Créée
le 20 oct. 2023
Critique lue 13 fois
1 j'aime
Du même critique
Natalie Dessay réinvente magistralement le répertoire de Claude Nougareau, ajoutant une dimension subtile à son répertoire bien établi. Sa capacité à fusionner sa propre sensibilité avec ces chansons...
le 20 oct. 2023
1 j'aime
Sergueï Prokofiev, pour moi, incarne un compositeur visionnaire et novateur. Dans son œuvre, il parvient à marier avec une finesse impressionnante le romantisme russe aux éléments modernistes, créant...
le 14 oct. 2023
1 j'aime
"Anatomie d'une chute" est une plongée captivante dans la complexité des relations humaines, mettant en lumière la clairvoyance inattendue d'un enfant face à l'aveuglement des adultes. L'histoire de...
le 15 janv. 2024
