Dernières cendres démarre par un long prologue dont la réalisation est particulièrement soignée. Loïc Tanson opte pour un format carré et un noir et blanc très équilibré pour restituer quelques évènements historiques de 1838 en terres nord luxembourgeoises. Les plans séquences défilent à l’écran et rend déjà compte d’un environnement violent. Les mouvements de caméra observés sont nombreux et incessants. Il y a dans ce prologue une proposition cinématographique de belle facture. Par le noir et blanc employé, certains plans semblent invoquer Carl Theodor Dreyer. Lire la critique complète.