Poison Girl
Bon allez, pas d’introduction bien tournée pour cette fois, pour éviter toute confusion et parce qu’on colle des procès d’intention au film pas tout à fait pertinents, je vais commencer par quelques...
Par
le 8 juin 2016
196 j'aime
45
Sur les traces de Drive et Only God Forgives NWR s'invite de manière brutale dans le monde impitoyable du mannequina ! Poussé à l'extrème et d'une froideur glaçante le film est d'un esthétisme transcendant le tout accompagné d'une bande son dont seul Cliff Martinez a le secret! Le petit chaperon rouge face au grand méchant loup... Elle Fanning d'une béauté juvénile perturbante jetée en pature comme un morceau de viande dans ce monde aseptisé . Entre clip pop ou s'entre choc les couleurs, les lumières, les trous noir et l'histoire d'une petite provinciale débarquée dans un monde à la beauté robotisée, le film choque, dégoute, dérange ,perturbe, interroge et ça fait du bien! On y va en connaissance de cause et on est pas déçus! Coquille vide et dénué de sens c'est peut être la que NWR veux nous emmener.... sur un terrain dangereusement glissant et on se laisse tomber sans trop de retenue!
Créée
le 26 juin 2016
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le 8 juin 2016
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Le temps d'un plan, j'y ai cru, au point d'en avoir une demie molle. Le temps d'un opening theme fracassant, me renvoyant au temps béni de Blade Runner, et dont les basses me parcourent l'échine avec...
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le 20 juin 2016
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6
La plastique, c’est hypnotique. La bande annonce, le clip, la publicité : autant de formes audiovisuelles à la densité plastique extrême qu’on louera pour leur forme en méprisant le plus souvent...
le 13 juin 2016
149 j'aime
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