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Au nom du père.
C'est con comme un mauvais résumé peut vous faire passer à côté d'un bon film. A sa sortie, les journaux avaient plus ou moins vendu le nouveau film de Derek Cianfrance comme un "Drive" à moto,...
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le 12 sept. 2013
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15 ans de solitude
À peine terminé “100 ans de solitude”, voilà que je tombe sur ce film en salles obscures.
Si le film est une banale histoire et tragique histoire d'amour filmée avec une esthétique irréprochable, il prend toute son ampleur en développant la vie de la seconde génération. Des miroirs inversés dans la filiation mais des prolongements irrémédiables des peurs d'une fatalité qui rode, qui ronge.
On peut reprocher une certaine lenteur (limite excessive) dans le déroulement. Parti pris surement pour intensifier les émotions retranscrites avec justesse à l'écran. On fera avec.
Si le film est une banale histoire et tragique histoire d'amour filmée avec une esthétique irréprochable, il prend toute son ampleur en développant la vie de la seconde génération. Des miroirs inversés dans la filiation mais des prolongements irrémédiables des peurs d'une fatalité qui rode, qui ronge.
On peut reprocher une certaine lenteur (limite excessive) dans le déroulement. Parti pris surement pour intensifier les émotions retranscrites avec justesse à l'écran. On fera avec.
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le 16 avr. 2013
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