My childhood.
J’ai cette belle sensation que le film ne me quittera jamais, qu’il est déjà bien ancré dans ma mémoire, que je me souviendrai de cette maison, ce village, ce petit garçon pour toujours. J’ai...
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le 21 nov. 2014
32 j'aime
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Il n’y a pas encore la puissance graphique et la force malaisante déployée sur format long dans Phase IV, mais on y perçoit déjà un besoin de capter l’invisible à l’œil nu : s’attarder sur l’éclosion d’une fleur, le pourrissement d’un fruit, les remous et éclaboussures provoqués par la chute d’une gouttelette dans un verre. Le récit dit vouloir saisir le regard d’un enfant et le suivre, mais ce que l’on voit dépasse son simple point de vue : C’est un récit prétexte à expérimenter le corps de l’image, la dilatation temporelle, les superpositions diverses et variées. Il y a déjà une fascination pour le sable et sa transformation (impossible d’oublier la réapparition de la jeune fille ensablée à la fin de Phase IV) : Ici c’est un château de sable, qui est construit des mains du petit garçon, avant d’être violemment détruit par l’océan.
Créée
le 16 nov. 2022
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