le 21 nov. 2014
My childhood.
J’ai cette belle sensation que le film ne me quittera jamais, qu’il est déjà bien ancré dans ma mémoire, que je me souviendrai de cette maison, ce village, ce petit garçon pour toujours. J’ai...
Une heure. Trois parties. Trois paysages différents : Une aciérie dans laquelle on voit notamment des réparateurs de pont dans la ville industrielle de Détroit ; Des ouvriers agricoles dans les champs de la vallée de l’Hudson ; Des mineurs de sel dans le désert aride de Danakil en Ethiopie. Mais trois espaces indépendants reliés par les gestes du travail humain, saisis comme un mirage, prenant une apparence quasi abstraite. Et comme souvent avec Hutton, le film est muet, vraiment muet, sans son. C’est une expérience très étrange tant notre imagination parvient à reconstruire chacune des éventuelles sonorités.
Créée
le 19 mars 2022
Critique lue 45 fois
le 21 nov. 2014
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le 24 juil. 2021
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