C’est la journée d’un groupe néo-fasciste dans le Milan du début des années 70 et c’est donc extrêmement sec, sombre et désagréable. Le problème c’est que ça ressemble davantage à un assemblage de faits plutôt qu’à une analyse sociétale. Si la mise en scène est efficace elle n’ouvre aucune fenêtre, ou si peu, et décide simplement de suivre la violence de personnages tous aussi médiocres que caricaturaux. Par conséquent, malgré le trés bon combo Blu-ray/DVD limité à 1000 exemplaires de "Le Chat qui fume", SAN BABILA est un long métrage très dispensable.
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Créée
le 8 avr. 2019
Critique lue 399 fois
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