le 20 févr. 2020
Roméo et Juliette en mode prolo.
Finalement, c’est l’éternelle histoire de Roméo et Juliette. Ici, vraiment tout les sépare : leur mentalité, leur famille et, d’une manière qui s’avère radicale, l’exploitation capitaliste. Luigi...
Application SensCritique : Une semaine après sa sortie, on fait le point ici.
Finalement, c’est l’éternelle histoire de Roméo et Juliette. Ici, vraiment tout les sépare : leur mentalité, leur famille et, d’une manière qui s’avère radicale, l’exploitation capitaliste. Luigi Comencini fait la critique d’une Italie engluée dans des traditions machistes archaïques, raciste (racisme des gens du Nord vis-à-vis des gens du Sud, notamment de Sicile), mais aussi de l’horreur économique, de l’exploitation sans scrupule, sous les dehors d’un grand patron paternaliste, des ouvriers. Il pointe aussi en quoi le système capitaliste, non seulement ne respecte pas l’homme, mais encore détruit l’environnement. Le film est un superbe mélodrame tragique, ce qui ne l’empêche pas d’être totalement ancré dans le réel au niveau de la description du travail dans l’usine qui est quasi documentaire. Stefania Sandrelli et Giuliano Gemma sont excellents et incroyablement crédibles dans leur rôle de prolétaires, ce qui est tout de même assez exceptionnel pour des vedettes aussi célèbres.
Créée
le 20 févr. 2020
Critique lue 433 fois
le 20 févr. 2020
Finalement, c’est l’éternelle histoire de Roméo et Juliette. Ici, vraiment tout les sépare : leur mentalité, leur famille et, d’une manière qui s’avère radicale, l’exploitation capitaliste. Luigi...
le 16 août 2023
Abordant de nombreuses problématiques qui habitent alors le cinéma italien des années 70, Luigi Comencini réalise ici l’une des plus grandes œuvres du cinéma post néoréalisme. Dans les années 70, les...
le 28 août 2020
A mi-chemin entre Rocco et ses frères pour la tragédie et La classe ouvrière va au paradis pour la satire, ce film tout en finesse figure parmi les plus belles réussites de Luigi Comencini qui prouve...
le 17 janv. 2017
Ce film inaugure la « période Mao » de Godard et son entrée dans l'anonymat du cinéma militant, dont il ne sortira que des années plus tard. Filmés sur fond noir (la photo et les couleurs sont...
le 25 mars 2020
La prison est le sixième film réalisé par Bergman, alors quasiment inconnu, mais on peut considérer qu’il s’agit du premier « vrai » Bergman, puisque les cinq films précédents étaient des films de...
le 20 févr. 2020
Finalement, c’est l’éternelle histoire de Roméo et Juliette. Ici, vraiment tout les sépare : leur mentalité, leur famille et, d’une manière qui s’avère radicale, l’exploitation capitaliste. Luigi...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique