Une ardente patience par flowrak

Que le cinéma chilien n’ait pas de budget pour exploiter Une Ardente patience diffusé dans le monde sur Netflix, c’est ok par contre il ne faut s’attendre à rien notamment au niveau de la photographie qui est absolument bouffée par des effets infects à l’oeil. Le reste c’est une adaptation du livre du même nom de Antonio Skármeta. Le film s’ennuie à reprendre parfois trop littéralement les dialogues qui sont trop poétiques pour l’être dans un film. L’histoire d’amour du facteur Mario qui est aidé par le poète et politique Pablo Neruda pour séduire la femme de ses rêves mélange clichés et cul-cul au maximum. Le film manque d’authenticité de manière flagrante et c’est un énorme soucis que le film paraît interminable.