Usual Suspects est un véritable bijoux du thriller qui s'impose encore aujourd'hui comme une des références incontournables du genre, au même titre que Fight Club ou Seven. Réalisé par Bryan Singer et écrit par Christopher McQuarrie, le film captive dès les première minutes, notamment grâce à une narration sophistiquée et une mise en scène qui tient le spectateur en haleine jusqu’au dénouement final et son twist à la fois inattendu et géniale.
l'une des grandes forces de celui-ci réside dans son scénario tout bonnement brillant. La construction en Flashback, raconté par le personnage de Verbal Kint, incarné par Kevin Spacey, plonge le spectateur dans un puzzle narratif où chaque pièce semble avoir sa propre place, et pourtant le film nous remet en question avec une révélation qui nous brise toute nos hypothèses que l'ont c'est construites sur "qui est Keyser Söze". cette révélation finale est devenue culte et a marqué le cinéma, non seulement par sa surprisse mais aussi par son audace et son efficacité.
Les performances des acteurs sont aussi un autre point fort, notamment celle de Kevin Spacey qui crêve l'écran. Son rôle lui a valu l'Oscar du meilleur second rôle, et à juste titre : il incarne son personnage avec une intensité et une subtilité remarquable. Gabriel Byrne lui aussi a livré une performance remarquable dans son rôle d'un criminel repentit obliger de quitter à nouveau le droit chemin et qui fait fasse à un dilemme qui oppose sa vie d'avant a celle qu'il a aujourd’hui.
Visuellement, la réalisation de Bryan Singer sert parfaitement l'intrigue, évitant tout effet inutile pour se concentrer sur l'essentiel, la tension psychologique et la manipulation du spectateur. La Musique de John Ottman renforce cette atmosphère trouble et mystérieuse, contribuant ainsi à l'immersion totale.
pour conclure, je dirais qu'en somme, Usual Suspects est un chez-d'oeuvre de mise en scène et d'écriture, un film qui combine habilement suspense, mystère et psychologie, et qui continue à impressionner par sa capacité à surprendre le spectateur.