There's no point having wishes if you don't at least try to do them.

Alors oui, je sais, vous allez me dire "oh non encore une histoire de cancéreux !".
J'aurais envie de vous répondre Et si ! : parce que le cancer existe, et qu'essayer d'en parler c'est une bonne chose. Malgré tous les livres qu'on aura pu lire sur le sujet, et tous les films qui auront été fait, chaque histoire reste différente, chaque cancer l'est en fait. En partant de ce principe, j'ai du mal à les comparer. Pour moi toutes ses histoires sont uniques, à leur façon.
Celle-ci y-compris.
Sam a 12 ans seulement et comme tout enfant qui se pose beaucoup de questions, il finit par chercher des réponses sur le visage de ses parents. C'est ainsi qu'il découvre que nombre de questions existentielles n'ont tout simplement pas de réponses.


Ce film m'a beaucoup fait penser aux films de Wes Anderson (Moonrise Kingdom, La famille Tenenbaum...), un cinéaste que j'admire particulièrement pour son univers vintage, coloré, et ses scénarios rocambolesques. On retrouve dans Ways to live forever ce même usage d'objets rétros, et de mises en scène dynamiques, ça donne un aspect visuel très intéressant, excellent pour faire ressortir la candeur de Sam face à la maladie.


Pour ne rien vous gâcher, je ne vous en dirais pas plus. Sachez juste que j'ai trouvé cette fin...parfaite. Comme tout le film en fait !
Poésie, humour, larmes (pour les plus empathiques d'entre vous), vérités et réflexion, n'ayez pas peur de vous lancer ! Au pire, il n'en demeurera pas moins un film d'une grande beauté, à ajouter à votre top 50 du parfait petit cinéphile ambulant...(comment ça, je prends mon cas pour une généralité ?)

Liphéo
9
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le 4 avr. 2015

Critique lue 216 fois

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Liphéo
9

There's no point having wishes if you don't at least try to do them.

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le 4 avr. 2015