Bien qu'un tout petit peu long par moment, on est transporté. J'ai juste eu du mal pour ses séances de repet tout seul.oui il faut travailler la vitesse, mais il manque la subtilité. Surtout en jazz, l'un vaut autant que l'autre. On nous a montré que l'aspect brutal de la batterie et pas tout le reste du travail que ça demande. M'enfin... Passé ça, on se régale. Ça me rappelle un peu le conservatoire que j'ai quitté il y a quelques temps maintenant. Cette compétition et certains profs complètement tyranniques "pour le bien de la musique". J'ai souri plus souvent qu'à mon tour, même quand Fletcher envoie vraiment des saloperies à la figure des musiciens. J'ai été là, je m'en suis pris plein la gueule par certains aussi. Au final ça m'a servi. Donc bon, je suis sortie nostalgique un peu de la salle. Et c'est pas surprenant du coup mais l'OST est énormissime. Par contre. Nondidiou non non et re-non. Charlie Parker n'a pas failli se faire décapiter par une cymbale parce qu'il était pas en rythme. Bird a été suffisamment manchot pour jouer dans la mauvaise tonalité à un moment donné, rien à voir avec le rythme donc. Get your facts right yo!