C'est vrai qu'il y a du cliché, que le déroulement de la thérapie ne fait pas réaliste (mais franchement, à moins de suivre les séances du début à la fin, comment le pourrait-elle ?), que c'est un peu feel-good-movie et oh c'est gentil c'est mignon. Personnellement, je me serais même passée du personnage du professeur, voire du "génie" de Will.

Mais je ne sais pas, beaucoup de choses m'ont touchées. A commencer par le regard de Robin Williams, par son interprétation, si vrais. Mais aussi la relation naissante entre Skylar et Will, les charmes du début, la difficulté de s'engager, de ne pas laisser ses problèmes se poser en barrière et casser quelque chose de précieux. De la difficulté de ne pas être son propre ennemi, et de voir là où l'on se piège.

Voilà, je ne sais pas exactement où démêler le mauvais du bon dans ce film, mais je sais que je l'ai suivi tout le long avec intérêt et souvent émotion, et que quelque part je me suis retrouvée dans une histoire simplement humaine.
polidjin
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le 9 juin 2013

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polidjin

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