Déjà, dans Rubber, j'avais préféré les parties muettes, à la poésie visuelle un peu surannée. Toute la partie parodique ne m'avait pas emballé plus que ça. Le soucis de Wrong, c'est qu'il tourne immédiatement à la recette facile. Car tout y est convenu et flemmard. L'arbitraire, l'aléatoire, l'absurde... c’est bien commode, quand on a pas grand chose à raconter. Le soucis, c'est quand on ne se renouvelle pas, qu'on applique la recette sans réelle ambition, mécaniquement..
Il manque au film ce petit supplément d'âme que possédait cet être caoutchouteux et solitaire dans Rubber.