J'ai hésité
6,5 ; 7 je ne savais pas vraiment quelle note choisir, puis finalement je met 6. J'ai tellement attendu de ce film, je veux dire l'idée de base est géniale mais on sent, et c'est peut être la...
le 26 nov. 2020
2 j'aime
Karen Maine adapte en version longue son court-métrage éponyme de 2017 et passe d’un format de 11 à 77min. On y retrouve dans le rôle principal Natalia Dyer (Nancy Wheeler dans la série TV Stranger Things), seule rescapée du film original.
Le film raconte les premiers émois sexuels et amoureux d’une jeune séminariste au début des années 2000, qui décide de participer à une retraite spirituelle pour tenter de se réconcilier avec Jésus. Culpabilisant de s’être masturbée lors d’un banal tchat sur internet, alors qu’au même moment, une rumeur circule à son propos et d’un rapport qu’elle aurait eu avec l’un de ses camarades (accusée de lui avoir "bouffé l'ognon").
Naïve et inexpérimentée, Alice sait que toute activité sexuelle doit avoir comme but la procréation, comme on la lui inculque dans son lycée catholique (un brillant lavage de cerveau). Elle qui pensait renouer avec Jésus lors de cette retraite, elle va finalement prendre un tout autre chemin lorsqu’elle fera la rencontre de Chris, un conseillé spirituel.
Karen Maine dresse un portrait touchant de cette jeune femme en pleine découverte de sa sexualité. Rares sont les teen-movie ayant un tel regard féminin, d’autant plus que le film évite les clichés inhérents au genre, exit donc les blagues en-dessous de la ceinture (ou presque), c’est attendrissant et surtout, cela a le mérite de changer des habituels comédies centrées sur les adolescents.
► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
« - C’est quoi un lavement ?
- C’est quand tu tombes en ski nautique et que l’eau va dans tes fesses. »
« - Vous savez s’que ça veut dire "manger l’ognon de quelqu’un" ?
- Ça veut dire "lécher le trou du cul de quelqu’un". »
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes ☣ Films vus pendant la pandémie de Covid19 / Coronavirus ☢ et Mon recueil de répliques de films
Créée
le 29 nov. 2020
Critique lue 871 fois
D'autres avis sur Yes, God, Yes
6,5 ; 7 je ne savais pas vraiment quelle note choisir, puis finalement je met 6. J'ai tellement attendu de ce film, je veux dire l'idée de base est géniale mais on sent, et c'est peut être la...
le 26 nov. 2020
2 j'aime
En 2009 sort un court métrage intitulé Obvious Child, écrit par la jeune scénariste Karen Maine, salué par la critique. Elle l’adapte 5 ans plus tard en long métrage, avec Gillian Robespierre à la...
Par
le 24 mars 2022
1 j'aime
Le pitch était alléchant. L'univers proposé est sympathique et méritait le détour. Malheureusement l'auteur peine à développer et exploiter ses bonnes idées, du coup on reste sur sa faim du début à...
Par
le 2 janv. 2021
1 j'aime
Du même critique
Second long métrage pour le magicien des effets-spéciaux, après avoir apposé sa patte et sa légende sur bon nombre de films culte ou qui ont marqués toute une génération (La guerre des étoiles -...
Par
le 21 juin 2022
35 j'aime
Premier long-métrage pour l'équipe des Monty Python où ils réalisent avec Monty Python, sacré Graal (1975) une comédie lourde, exaspérante et extrêmement vide. Certains gags sont beaucoup trop...
Par
le 5 mai 2011
27 j'aime
17
Une belle grosse désillusion le dernier Spielberg. Moi qui l'attendais avec une certaine impatience. Son grand retour à la SF, à grands renforts de coups marketings, je suis tombé dans le panneau et...
Par
le 20 mars 2018
21 j'aime
24