
J'ai mis du temps à apprécier Phantom of the paradise. Je l'avais vu jeune adolescent et je ne l'avais pas du tout compris, à une époque où je préférais Terminator au Nouvel Hollywood. Mais petit à petit, au fil des revisionnages, j'ai capté toute la richesse de ce petit bijou, de cette dénonciation en règle de l’instrumentalisation de l’art et des artistes pour des motifs bassement... Lire la critique de Phantom of the Paradise