La Playstation Vita a bien du mal à surnager, surtout si on compare ses ventes à celles de la 3DS qui est loin de se faire du soucis pour son avenir. Pourtant, la console portable de Sony en a méchamment dans le ventre et il suffit de voir le catalogue bien fourni de la console sur le PS Store pour comprendre qu’en terme de variété et de hardware, la Vita surpasse la 3DS. Malheureusement, pour qu’une console se vende, il est nécessaire, surtout aujourd’hui, de faire les yeux doux au grand public avec des exclusivités qui en jettent. La Vita avait su tirer son épingle du jeu dans ses débuts de carrière avec Killzone Mercenary, Gravity Rush ou encore Uncharted – Golden Abyss. Mais depuis, c’est le silence radio. La console continue de faire son petit bonhomme de chemin, mais reste effacée, presque en dehors du circuit. Aujourd’hui destinée à un public de niche, avec sa profusion de jeux indépendants et/ou conceptuels, les jeux sortants sur cette plateforme ne bénéficient que de peu de promotion. Pire encore, les quelques portages en provenance de jeux console de salon sont en général de piètre qualité. Il suffit de jouer quelques minutes à la scandaleuse version Vita de Resident Evil – Revelations 2 pour comprendre. Bref, les éditeurs n’en ont pour la plupart rien à foutre de cette console, Sony en tête. Pourtant, le constructeur a tenté plusieurs fois de doter la console d’exclusivités solides en lorgnant du côté de son concurrent. S’il est un jeu 3DS qui fait l’unanimité, c’est bien Monster Hunter, de Capcom. En effet, les jeux de chasse ont la vertu d’être accessibles, mais également exigeants, riches, longs et surtout ouverts à une dimension coopérative et compétitive en ligne. Par deux fois la Vita a accueilli des jeux de chasse de grande envergure : Soul Sacrifice et Toukiden. Deux très bons jeux qui n’ont malheureusement pas eu le succès commercial escompté. La poisse s’acharne sur la pauvre Vita, mais cela n’a pas empêché Sony d’insister une nouvelle fois en 2014 avec Freedom Wars avec un nouveau jeu de chasse un peu singulier développé par Shift et Sony Computer Entertainment. Même si le temps nous a montré qu’il n’a pas servi de moteur pour la Vita, qui décidément enchaîne les bides à un rythme effréné, je propose que nous nous intéressions à Freedom Wars qui, même s’il est loin de pouvoir détrôner Monster Hunter, offre aux joueurs une expérience tout à fait intéressante, que ce soit en terme de gameplay, qu’en terme de scénario.


Vous êtes condamné à une peine de prison d’un million d’années !


La première chose qui m’a frappé dans Freedom Wars, c’est son histoire, fichtrement intéressante ! Là où Monster Hunter se contentait du strict minimum, Freedom Wars propose un univers développé, une ribambelle de personnages, des dialogues à ne plus savoir qu’en faire, et une narration palpitante bien que trop hachée. Dès le début, le jeu nous place dans la peau d’un type se réveillant amnésique au beau milieu d’un champ de bataille suite à un coup trop sévère porté à sa caboche. Pas de bol vous me direz. Sauf qu’on est dans Freedom Wars et le gouvernement estime qu’il est responsable de cet handicap qui le rend improductif. Il est donc condamné à une peine de prison de un million d’années. Après quelques explications et tutoriels divers, nous voilà dans une cellule où l’on commence à comprendre un peu ce qu’il est en train de se passer. Pour faire simple, l’histoire se déroule en 102013 (!) alors que les ressources terrestres sont épuisées. L’humanité a rapidement décliné et les sociétés qu’elle avait construites ont disparu au profit de cités appelées Panopticon. Ces cités n’ont qu’un seul but : survivre en rassemblant un maximum de ressources, quelles que soient leur nature. Or il se trouve que les humains aussi sont des ressources pouvant potentiellement contribuer à la bonne marche du Panopticon. En perdant la mémoire, vous êtes devenu un poids inutile pour la société. Heureusement, le Panopticon vous offre le privilège d’y remédier en devenant un Coupable, c’est-à-dire une vermine qui réalise les tâches ingrates afin de servir au mieux les Citoyens, autrement dit les individus productifs. Vous êtes donc condamné à une peine d’un million d’années, mais chaque bienfait que vous apporterez à votre Panopticon vous vaudra une réduction de peine à la hauteur de vos contributions, pouvant aller du simple don d’objet au terrassement de mechas gigantesques. Car oui, les Panopticons se font la guerre. Ils essayent tous de se dérober des ressources, notamment à l’aide de grandes machines appelées Ravisseurs qui enlèvent les Citoyens des cités rivales. Votre mission principale en tant que coupable : combattre les Panopticons ennemis, donner votre vie pour les citoyens et tout faire pour payer intégralement votre dette et redevenir un citoyen. Le synopsis est déjà franchement engageant, vous en conviendrez. Mais ce n’est pas tout car plusieurs intrigues viennent s’y greffer pour apporter de l’épaisseur et de l’enjeu ! J’ai été immédiatement conquis par le scénario de Freedom Wars et je l’ai encore plus été après quelques heures de jeu quand j’ai compris que la narration parvenait à donner du sens au gameplay et vis-versa.


Le code c’est… le code.


Votre personnage évolue donc au sein d’une communauté de coupables et doit réaliser un maximum de missions. Au bout d’un certain nombre de missions achevées avec succès, vous pouvez passer un examen qui vous fera passer à un grade supérieur. Ces grades sont appelés CODE et vous commencez en toute logique en tant que coupable CODE 1. L’objectif sera donc de remplir tous les critères au fil des missions proposées pour passer à un niveau de CODE supérieur et ainsi accéder à de nouveaux droits, car au début du jeu vous n’avez littéralement aucun droit : ni celui de courir, ni celui de dormir couché, ni celui de parler, etc… Vous êtes considéré comme un sous-humain, à vous de prouver le contraire par le mérite. Une fois que vous avez compris que le gameplay hors-combat repose sur les contributions, vous êtes à même d’assimiler toutes ses composantes. Si vous êtes utile, vous réduisez votre peine; en revanche si vous glandez ou que vous faites le moindre faux-pas, vous risquez un allongement de peine pouvant aller de quelques dizaines d’années à plusieurs milliers, selon la gravité de votre faute. Il m’est arrivé de me faire sanctionner par un garde qui patrouillait parce qu’en lui parlant je l’empêchais de faire son travail correctement et que, par conséquent, mon comportement était contre-productif. Pire encore, le moindre de vos faits et gestes est surveillé par un androïde qui vous suit partout et vérifie si vous êtes bien productif 100% du temps. Vous n’avez même pas le droit de dialoguer avec lui, à moins que ce ne soit absolument nécessaire. Cette société un tantinet restrictive sert donc de base à tout le gameplay : vous devez être le plus utile possible, quitte à y laisser votre peau. Heureusement, comme je l’expliquais plus haut, plus vous monterez en grade, plus les citoyens et les autres coupables vous respecteront. Vous gagnez accès à divers droits, mais aussi à divers upgrades, faisant de vous un coupable plus efficace et donc plus productif ! Une logique implacable : si vous servez votre Panopticon avec zèle, vous gagnez le droit de le servir avec plus de zèle ! Travaillez plus, pour gagner plus…pour travailler plus ! Vous pouvez acquérir diverses armes (ou les ramasser sur les ennemis morts) que vous pouvez améliorer, diverses tenues pour personnaliser votre avatar, ouvrir des usines pour produire, armes, objets et améliorations, etc… Bref, s’il n’y a pas de système de montée de niveaux, vous pouvez quand même personnaliser votre personnage et lui donner les statistiques que vous souhaitez. Vous pouvez également personnaliser votre androïde, puisqu’il vous assiste au combat, et vos coéquipiers, que vous pouvez sélectionner en début de mission. Et je peux vous garantir que vous allez avoir de besoin de vous préparer avant de vous lancer dans le carnage, parce que les missions sont loin d’être gagnées d’avance !


Vous allez aimer les ronces


La grande spécificité de Freedom Wars, c’est son gameplay plus aérien qu’un Monster Hunter. En effet, chaque coupable est équipé d’une ronce. Cette ronce est en réalité une sorte de fouet/grappin qui, selon le type sélectionné (bouclier, soins, entrave, etc…), a plusieurs fonctions. De base, une ronce sert à s’accrocher aux parois et aux ennemis pour s’y propulser. Plutôt malin puisque cela donne un dynamisme inattendu aux combats. On peut s’accrocher aux murs, grimper sur les toits ou fuir rapidement quand la situation commence à chauffer. On peut aussi se servir des ronces pour réanimer des alliés, prendre un objet hors de portée, ou déséquilibrer un ravisseur pour le faire tomber. Mais le mieux reste encore de s’accrocher à la couenne d’un Ravisseur pour le démonter à bout portant. En effet, chaque Ravisseur se compose de plusieurs parties qu’il conviendra de détruire une par une afin de l’affaiblir au maximum. Si le ravisseur a un canon sur la tête, il est pertinent de s’accrocher au dit canon pour le découper et le rendre inutilisable, ainsi l’ennemi perd une de ses capacités d’attaque. Il existe différents types de ravisseurs, à vous de découvrir leurs points faibles, tous sensible à un type d’arme en particulier. Par ailleurs, découper en morceaux les ravisseurs est très rentable dans la mesure où vous pouvez ramasser les composants tombés de l’ennemi pour vous en servir dans vos usines ou les donner au Panopticon (n’essayez pas de voler ceux que vous n’avez pas le droit de garder, vous vous prenez à tous les coups un allongement de peine). Les combats ont donc de la gueule et surtout de l’enjeu ! On virevolte dans tous les sens, on tente diverses approches, et on exploite les vertus du combat rapproché, comme on le ferait dans Lost Planet 2. Et mine de rien, c’est un petite performance pour une console portable ! Même quand l’écran est saturé de personnages et d’ennemis, le frame rate est constant. Chaque mission réserve son lot de surprises, et vous devrez vous adapter si vous souhaitez les réussir dans les meilleures conditions possibles. Et croyez moi, ce n’est pas une mince affaire, car Freedom Wars a été conspué par les joueurs japonais à cause de sa difficulté en dents de scie. Alors certes, depuis, quelques patch ont rendu certaines missions plus faisable, mais le problème est toujours là : certaines missions relèvent juste de la punition. Et malheureusement, ces passages hautement agaçants mettent en relief les nombreux problèmes du gameplay.


Rage quit et affligeantes humiliations


Freedom Wars est bordélique. Les combats les plus tendus ont vite tendance à se transformer en gros merdier incompréhensible. Vous savez, cette situation où vous subissez sans comprendre d’où viennent les attaques, où la caméra décide de faire ce qu’elle veut et où la profusion de personnages à l’écran devient votre pire ennemi. C’est surtout vrai quand vous combattez plusieurs ravisseurs simultanément. Vous vous faites littéralement trimballer d’un bout à l’autre de l’arène en permanence. Et vos coéquipiers ne sont pas mieux lotis ! Il m’est arrivé de les voir TOUS à terre, incapables de se relever puisque plus personne (à part moi) n’est là pour les réanimer. Ces scène pathétiques deviennent monnaies courantes une fois obtenue la licence CODE 5. Alors vous me direz qu’il suffit de s’éloigner un peu des combats pour reprendre son souffle et appréhender l’ennemi avec un peu de recul. Mais vous n’avez pas le temps ! Vous disposez d’un temps limité pour terminer chaque mission. La plupart du temps, vous pouvez vous permettre d’y aller tranquille. Mais parfois, même avec 45 minutes devant soi c’est tendu ! La difficulté est clairement mal dosée et c’est particulièrement visible quand vous combattez des ennemis humains (ou androïdes). En quelques secondes, ils peuvent vous mettre à terre avant même que vous ayez compris d’où venait la menace. Ils vous aspergent de plomb sans discontinuer et ne vous laissent aucun répit. De ce fait, les missions de sauvetage se transforment rapidement en calvaires. En effet, certaines missions nécessitent de rapatrier un certain nombre de citoyens avant l’équipe adverse. Une chouette idée qui apporte un peu de variété au gameplay très codifié des Monster Hunter-likes. SAUF QUE les ennemis sont tellement rapides et puissants qu’ils ne nous laissent aucune chance : soit on porte le citoyen et ils nous tombent tous dessus, soit on ordonne à un coéquipier de trimballer le citoyen et dans ce cas c’est lui qui se fait plomber. Dans les deux cas, le citoyen tombe, se barre et nous fait perdre un temps précieux face aux ennemis qui eux respawnent à l’infini. Bordel. On se dépatouille comme on peut, priant pour que notre androïde, ou un pote qui passait par là, nous réanime si jamais on se fait poutrer pour la 12 ème fois par ces trois ravisseurs aux allures de cauchemars increvables. D’ailleurs, la réanimation, parlons-en, c’est une composante intéressante. Au début de chaque mission, vous disposez d’un nombre limité de réanimations. Si vous crevez, vous en utilisez une. Si vous en utilisez trop, le Panopticon estime que vous y avez mis de la mauvaise volonté et vous gratifie d’un allongement de peine. Le problème, c’est que votre androïde est aussi vulnérable que vous et si jamais il est dans l’impossibilité de vous réanimer, vous allez crever en regardant votre défibrillateur sur pattes se faire laminer en essayant de vous sauver. Dur. Les autres coupables peuvent être réanimés, ainsi que leur androïde respectif, mais rien ne vous oblige à le faire (même si c’est très conseillé). En revanche, ne lâchez jamais votre androïde des yeux car s’il se fait mettre à terre, vous ne disposez que d’un temps limité avant que le ravisseur adverse ne le ramasse et l’enlève. Le cas échéant, vous devez vous dépêcher de le libérer, sans quoi vous devrez retourner le chercher dans une mission ultérieure. Intéressant, mais peu pertinent d’un point de vue strictement ludique. Surtout qu’il arrive que le jeu manque simplement de précision et nous empêche de mener notre mission à bien, comme le système de lock, complètement raté, qui lock ce qu’il veut quand il veut. Pas facile de garder son calme face à un gameplay aussi jouissif que mal calibré.


Faites la fierté de votre Panopticon, il vous le rendra (peut-être).


Heureusement, Freedom Wars reste assez plaisant, voire assez prenant pour peu que vous soyez, comme moi, sensible à son esthétique. Certes les combats sont répétitifs et complètement déséquilibrés, certes la maniabilité est perturbante et met le joueur dans des situations absurdes où il perd le contrôle. Je suis le premier à avoir hurlé devant ma Vita, mais j’aime ces moments de calme entre les missions. Dans Monster Hunter, on enchaîne les missions sans se poser de question. On améliore son personnage et on y retourne. Freedom Wars offre un rythme différent. Après une mission, on se retrouve souvent à parler avec les PNJ pour faire avancer l’histoire, ou à faire quelques missions d’infiltration, un peu limitées certes, mais qui laissent le joueur respirer entre deux pétages de fions assénés par le jeu. On passe beaucoup de temps à naviguer dans les menus à vérifier notre stuff, à vendre des objets, à se créer des looks, improbables, à faire parler les PNJ au risque de se faire sanctionner… Même si la surface visitable du Panopticon est très réduite, elle offre tout de même un monde plus crédible que celui de Monster Hunter, avec une ambiance plus prononcée qui évolue d’ailleurs à mesure que le scénario avance. La bande-son n’y pas étrangère et on remerciera l’éditeur d’avoir fait le choix de laisser les doublages japonais et d’avoir traduit intégralement les sous-titres en français. C’est peu courant et ça fait très plaisir ! Les musiques ne sont pas en reste et j’ai été impressionné par la qualité des compositions, oscillant entre l’électro et le métal de manière très harmonieuse. La direction artistique est aussi très intéressante, bien que peu originale. Les décors industriels se ressemblent tous et le nombre d’arène est très réduit, même si leur level-design est plutôt bien pensé. Pourtant, il se dégage une aura fascinante de ce jeu. Je pense qu’il fait partie de ces jeux auxquels on adhère ou non. Soit on est instantanément happé par le concept et dans ce cas il devient addictif, soit on y joue sans grande conviction jusqu’au moment où l’on baisse les bras devant les problèmes de gameplay. Il est dommage que les environnements ne soient pas plus ouverts, on aurait aimé voir le Panopticon sous un angle différent. Finalement, on en voit que les quartiers des coupables et le dédale, composé deux deux misérables boutiques. Cependant, ne nous plaignons pas, Freedom Wars apporte la profondeur narrative et artistique qui manque aux jeux de chasse, compensant ainsi habilement ses faiblesses de gameplay, qui demeurent tout de même assez rédhibitoires pour le commun des joueurs. Donc finalement, oui je vous conseille chaudement ce jeu, même si je vous recommande de conserver mes mises en garde en tête. il faut bien l’admettre, il n’a pas la carrure pour faire de l’ombre à Monster Hunter, c’est un fait. Mais c’est surtout parce qu’ils ne jouent pas dans la même cours ! Freedom Wars est beaucoup plus posé que Monster Hunter et fait la part belle aux attraits du solo, tandis que Monster Hunter est un pur objet de multijoueurs sans temps mort ni fioriture pour perturber le gameplay. Freedom Wars est sorti en France en version boîte et les bon jeux Vita en boîte sont peu nombreux, donc si vous le voyez dans un rayon de magasin et que le concept vous tente, n’hésitez pas, foncez !


Résumé concis :


Les +



  • le scénario et l'univers captivants

  • la maniabilité basée sur Monster Hunter

  • les combats aériens

  • le dynamisme apporté par les ronces

  • le large éventail de personnalisations

  • l'excellente bande son

  • la durée de vie correcte

  • techniquement irréprochable (graphismes et fluidité)


Les -



  • la difficulté délirante

  • la caméra instable

  • le Panoticon trop réduit

  • menus difficiles à dompter

  • très répétitif (défaut inhérent au genre)

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le 5 oct. 2015

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