Quand on se heurte à un mur critique, on improvise

Attention : SPOILERS potentiels

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Bien surpris celui qui pensait retrouver ses appuis

Celui qui au commencement se voyait en terrain conquis

Car si par Snake l’aventure s’initie,

C’est par Raiden qu’elle nous transi.

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Du tanker à la Big Shell

Plane l’ombre de Shadow Moses

On crie à la copie, non au sequel

Ce que l’on ne voit pas, c’est que l’on nous hypnotise

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On nous manipule, on nous ridicule

On retourne nos attentes, le doute s’immisce dans la fente

De nos espoirs perclus par ces choix qui nous rendent incrédule

Pourquoi ce jeunot ? Cette initiation lente ?

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On connaissait tout, on avait notre héros, nos idéaux

Seulement voilà, ce n’est pas le plan d’Hideo

Rien n’est au hasard, dans ce délire méta

Tout est calculé, par maître Kojima.

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Mais faisons fi du scénaristique, parlons mécaniques

Entre deux générations, le gap est logique

Mais tout est fignolé, dans les moindres détails

Ça ce n’est pas le fruit, de n’importe quel travail

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Faites des tractions, choppez des dog tags

Distrayez donc l’adversaire, avec un p’tit pornmag

Un coup de réfrigérant dans les dents

Et le soldat tombé, sera bientôt pimpant.

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Bijou de ludisme, et trésor narratif

Sons of Liberty, évite tous les poncifs

Perle rare, suite en or, opus transitif

Pour la saga de tous les superlatifs.