Ce jeu est le défouloir ultime. Il n'existe pour l'instant aucun titre à se jour qui octroie un tel sentiment puissance (à part Asura's Wrath mais je le vois plus comme un manga qu'un jeu). Prototype c'est la définition même du mot "bourrin".
L'argument premier de ce jeu, ce n'est pas son histoire, même si elle reste relativement sympa, non, c'est avant tout de pouvoir mettre le bordel absolu sur l'île de Manhattan avec des pouvoirs de dingue et une force titanesque qui feraient pâlir d'envie Kratos (oui je sais il est déjà pâle, c'est peut être d'ailleurs pour ça qu'il l'est !)
C'est simple, notre héro, Alex Mercer, c'est juste La Mort qui se balade en sweat. Au départ, vous ne possédez que quelques capacité légèrement surhumaine, que vous upgradez au fur et a mesure de l'histoire, pour déboucher sur des pouvoirs démesurément puissant. Transformation en tout genre (griffe, armure corporel ect, ect), rapidité, saut de l'ange, absorptions des ennemis (et des alliés...) pour récupérer de la vie, vol plané, capacité de riposte face aux chars et au hélicoptère, visions thermique, méthamorphose et plein d'autres, le tout facilement utilisable et interchangeable à tout instant via un menus très ergonomique et simple.
Mais attention, le jeu n'en ai pas pour autant des plus facile, et il faudra rusé en utilisant toute vos ressources pour mener à bien certains objectifs clés, ou battre les boss surpuissant qui se dresserons sur votre chemin. La durée de vie est plutôt bonne, beaucoup de missions annexes sont disponible, et le mode+ ravira les joueurs qui en veulent encore avec des ennemis plus coriace. Bon, certes graphiquement c'est pas terrible, les animations aussi, et le scénario n'a rien d'extraordinaire non plus, mais toute cette force en votre possession c'est simplement JOUSSIF ! Le titre aurai dû s’appeler "TOTAL DESTRUCTION" ou "ANNIHILATOR AUX USA".
Quelle plaisir de parcourir la ville en sautant et en planant depuis les gratte ciels en flamme, de massacrer les hordes de zombies par paquet de 100 qui veulent votre peau, ou de foutre une bonne corrections aux militaires qui tentent de vous ralentir en leurs balançant un char à la figure.