Si aimer est la capacité de pardonner, alors oui Bioshock Infinite : je te pardonne et je t'aime.
Je te pardonne ton gameplay un peu poussif, répétitif et rigide. Je te pardonne ton système de loot lourding et incohérent. Je te pardonne tes personnages non-joueur non-interactif. Je te pardonne ton scénario certes excellent, mais mal distillé. Je te pardonne ton absence totale de Body Awareness, sans doute volontaire, mais qui est si désengageante.
Bioshock Infinite, tu es beau malgré le glauque de ton uchronie. Ta direction artistique est irréprochable. Et puis tu m'a fait lire sur la Théorie des cordes, c'est dire...
Alors oui, tu as droit, pour moi, à la même note que Dishonored (qui, lui, a le défaut d'être si flemmard sur la fin) mais tu es mon préféré !