En découvrant ce formidable Dead Cells on pouvait penser à un habile descendant de Prince of Persia biberonné à Castlevania, propulsé aux stéroïdes avec ce gameplay ultra-nerveux et précis, et ces mécaniques évolutives et riches… A la manière de Sea of Thieves qui accueille Monkey Island, Dead Cells accueille cette extension presque évidente. Au menu de nouvelles armes, de nouveaux ennemis et décors issus de la saga Castlevania (époque post-Symphony of the Night et les excellents épisodes GBA-DS - la meilleure), et un segment d’histoire mettant en scène quelques boss icôniques… Evident c’est bien le mot, à ce niveau c’est juste du pop-corn, un met délicieux. Parfait.