Dans l'optique de découvrir DMC 5 avec le background de la série entière derrière moi, j'ai décidé de faire pour la première fois la série Devil May Cry. L'idée que j'avais était donc de faire une sorte de petit voyage temporel pour découvrir un classique qui a marqué son époque. Contrairement à d'autre que je considère intemporel (Zelda Ocarina Of Time, RE4...), Devil May Cry me semble avoir pas mal vieilli bien qu'il possède un charme qui m'a touché.
Ces rides se constatent notamment dans sa caméra et ses commandes qui ne sont franchement pas au service des joueurs.euses qui essayent de massacrer du démon. Ces deux éléments qui m'empêchaient de réaliser des esquives adéquates ou de comprendre ce qu'il se passait sur mon écran m'ont vraiment empêcher d'apprécier entièrement le jeu. Parce que derrière ça, quand le jeu n'est pas limité par ces défauts, il est jouissif. Les combos sont à connaissance limités mais addictif à lancé sur des ennemies sans défenses. J'ai passé de bon moment à bourriner les centaines de marionnettes et de fantômes et ça laisse prédir de bonne chose pour la suite de la série.
Au delà de son gameplay le jeu ne raconte pas grand chose de très intéressant (mis à part raconté une sorte d'ode à l'humanité qui revient dans les thèmes de Bayonetta, serait ce un thème cher à Hideki Kamiya ?). Néanmoins, suivre les aventures rocambolesque de Dante est un moteur suffisant. Être témoin des drames qui l'entourent le rendent vraiment attachant et ses interactions avec Triss en débit et fin de jeu donne envie de voir ses deux zigotos massacrés des diables en boucle.
Au final, même si je suis certain de ne jamais relancer ce jeu, je suis content de l'avoir fait pour l'aspect compréhensif de l'histoire du jeu vidéo. En plus, voir les détails qui viennent rappeller que ce jeu est la première version de RE4 faisait l'effet d'un petit baume au cœur. Alors merci pour ce temps passé ensemble Devil May Cry, mais je suis content de passer à autre chose.