DQ reste fidèle à lui même pour sa 11ème itération.
On retrouve le même game design que les premiers opus avec une formule ville/worldmap/donjon qui a fait ses preuves, une narration éclatée en petites histoires locales qui est toujours plaisante (à défaut d'être originale ou marquante), des combats tour par tour tout ce qui a de plus classique et traditionnel (avec un système de transe aussi raté que dans FFIX), un level design qui ne brille que dans quelques donjons et endort la plupart du temps et une ergonomie qui rappelle les manettes à 2 boutons.
Gros bonus pour les graphismes, l'équipe a l'attention du détail et a bien mieux utiliser le moteur que bien d'autres studio japonais.
Gros malus sur la musique, il est vraiment temps de laisser la main au lieu de faire la sieste sur son clavier.
Petit message sur le post game que j'ai commencé mais il détruit tout le propos narratif du jeu ce que je trouve dommage. Mais si on apprécie le gameplay on en a clairement pour son argent.
Bref DQ garde son design d'il y a 30 ans mais perfectionné à l’extrême, d'un côté dommage car la licence pourrait aller plus loin mais de l'autre attachant de retrouver cette familiarité et simplicité.