Proposition différente du paysage viédoludique actuel, Exo One assume son coté éthéré et pensif. L'auteur était visiblement tout à fait conscient des limites de sa proposition et ne nous a donc pas pondu une aventure en 27 chapitres d'1h30.
C'est beau, ça fait rêver, ça donne parfois le vertige (propre et figuré) et parfois, à l'occasion entre une session PoE2 et d'un FPS, ça fait vachement du bien.
Le jeu vidéo est un art, et comme tout art, ne doit pas se sentir limité par un canevas. Les propositions comme Exo One seront toujours les bienvenues.