le 19 mars 2013
La version "Enfants"
Nous sommes en Octobre 2003. La saga Final Fantasy est devenue une usine à block-busters (et à sousous) avec l'avènement de la série sur PlayStation : les épisodes 7, 8 et 9 sont des succès pour...
Jeu de SquareSoft, Yasumi Matsuno et Nintendo (2003 · Game Boy Advance)
Ce fut mon premier jeu GBA et mon premier FF, et ce fut une révélation.
Le jeu possède plein de défauts c'est certain : un équilibrage douteux entre les races (pensée émue pour les mogs), les adversaires qui jouent excessivement lentement, l'impossibilité de passer les cinématiques (bien qu'elles soient super), et enfin les juges, qui n'apportent au final qu'une immense dose de frustration (j'oubliais toujours les interdictions, résultat je relançais le jeu régulièrement à cause d'un f*cking carton rouge).
Le principal reproche fait à cet opus est celui du scénario. Et là, je me lève sur mes charbons ardents et je vous dis : zut ! C'est entièrement faux, il y a une confusion essentielle qui est faite. L'UNIVERS est enfantin : tout est coloré, les dialogues sont très simples. Mais le scénario, lui, est très profond. Bien qu'il parle d'un thème en apparence "léger" (rêve/réalité, et surtout les rapports affectifs), il conduit à un déploiement de personnages tous plus attachants les uns que les autres (exception faite de Montblanc, que je m'empressais de laisser mourir dans la Dorsa Jagd). La trame scénaristique est simple également, mais n'en est pas pour autant enfantine ni gnan-gnan.
Ritz, Shara, Mewt et ses parents, Babus... Tous ces personnages, s'ils sont (peut-être) exposés depuis un regard enfantin, n'en sont pas moins profonds dans les rapports qu'ils entretiennent avec notre héros.
Et c'est pour cela que le jeu n'est pas enfantin. Il présente éventuellement un regard enfantin, mais sur un univers et des thématiques qui ne le sont pas du tout, et qui laissent peu à peu l'ambiance s'assombrir et s'épaissir.
Bref, pour la durée de vie quasi infinie, les possibilités qu'offre le jeu, la richesse du gameplay ET POUR CETTE AVENTURE NON-ENFANTINE je mets 9/10. J'aurais mis 10/10 si Montblanc présentait un quelconque intérêt.
Créée
le 5 avr. 2018
Critique lue 993 fois
le 19 mars 2013
Nous sommes en Octobre 2003. La saga Final Fantasy est devenue une usine à block-busters (et à sousous) avec l'avènement de la série sur PlayStation : les épisodes 7, 8 et 9 sont des succès pour...
le 28 sept. 2010
Un scenario plat et sans intérêt, une facilité vite lassante, un système de combat qui n'a de tactique que le nom (peut-être qu'avec une difficulté mieux dosée..?), ce Final Fantasy fait en plus...
le 8 août 2010
Tout réside ici dans le gameplay. L'histoire est nulle, l'univers très sympa mais loin d'être exploité à fond et les personnages ne sont ni charismatiques, ni travaillés. Bref, ici, ce qui nous...
le 31 janv. 2021
Série exceptionnelle sur sa première saison. Un régal d'originalité. Un humour très étrange, des explosions poétiques et émotionnelles qui ne préviennent pas. Et puis surtout des acteurs d'une très...
le 5 avr. 2018
Ce fut mon premier jeu GBA et mon premier FF, et ce fut une révélation. Le jeu possède plein de défauts c'est certain : un équilibrage douteux entre les races (pensée émue pour les mogs), les...
le 22 juil. 2013
Mieux que la version US. Je trouve. Puisque les méchants sont nettement plus flippant ET attachants. Et puisque les gentils sont inconnus au bataillon, on a d'autant plus de doute sur la manière dont...
NOUVELLE APP MOBILE.
NOUVELLE EXPÉRIENCE.
Téléchargez l’app SensCritique, explorez, vibrez et partagez vos avis sur vos œuvres préférées.

À proposNotre application mobile Notre extensionAideNous contacterEmploiL'éditoCGUAmazonSOTA
© 2025 SensCritique