Metal Gear Solid 3: Snake Eater à beau être le 3ième MGS et le 5ième Metal Gear, mais c'est belle est bien le début de la saga qui se déroule 1964 pendant la Guerre Froide. Bien que Hideo Kojima est commencé l'histoire avec Solid Snake, la genèse débute avec Naked Snake aka Big Boss, ce héros au destin tellement tragique comme nous le montrera "Peace Walker" ou "Ground Zeroes", et même "Guns of the Patriot". Et c'est en continuant son histoire avec un bon dans le passé de l'univers immense de Metal Gear que Kojima nous pond un chef d’œuvre culte en retournant au source. Au lieu de mécha et autres outils futuriste, on se retrouve en Russie pour de l'infiltration/survie avec notre b*** et notre couteau (même si quelques éléments paraisse beaucoup plus impossible à cette époque).
Avec un scénario tout frais, de nouveaux personnages devenu mythique comme Big Boss et The Boss, voir le fameux Major Zéro, puis quelques boss culte tels The End ou le célèbre combat dans le champ de fleur, on se retrouve dans un jeu tellement immersif, dure et plein d'émotions et autres twists scénaristique. Les graphismes prévu pour PS3 se retrouve sur PS2 à cause d'un retard de Playstation, mais sa rend bien au final, alors c'est cadeau. Le gameplay est génial mais il faut être patient vu l'infiltration et une échelle plutôt grande (prévoir un max de calme). Et un fin avec deux duel mythique: The Boss et Ocelot. Tout ça mélangé avec des musiques magnifique comme mon morceau préférés: "Way to Fall".
Au final, un grand jeu culte d'une poésie incroyable, avec un scénario digne des plus grands Nolan et le début chronologique d'une des plus grandes saga du jeu vidéo.