Après SMB, Edmund McMillen pousse à nouveau le gameplay d'un classique 2D à bout avec Binding of Isaac. Le classique ici est Zelda, mais à la place du hylien autiste, Isaac qui a de grave soucis avec sa mère (faut dire qu'elle prends l'ancien testament un peu au pieds de la lettre). La différence majeur avec les donjon de zelda vient ici du procédural : les niveaux, ennemis et items sont assemblés aléatoirement, avec evidemment une mort permanente (oui c'est un rogue-like). Ce qui est frustrant au début (il faut découvrir l'effet des objets à chaque fois) mais permet une durée de vie assez immense.