Un bon premier opus

Mon avis au début du jeu :

C’est interessant de jouer à un des jeux pionniers du tps.

La relation entre Nate et Sully est géniale et leurs dialogues sont beaucoup trop drôles.

Les graphismes de la version remasterisée sont plutôt pas mal

Ce qui différence ce jeu de tomb raider c’est les combats. On se fait attaquer h24 (je vais pouvoir améliorer mon jeu de tir) et les ennemis sont tellement pas prévisibles. On peut aussi changer d’arme assez simplement, même si on ne peut en avoir que deux - ce qui est honnêtement plus réalise malgré tout.

J’aime aussi beaucoup les plans statiques quand on escalade quelque chose ou qu’on tombe de haut.

Pour l'époque, le gameplay est assez bon.

Le jeu est rapide. On perd pas de temps. Dans tomb raider on reste 20h dans une même région. Ce qui est normal : c’est un jeu d’exploration. Uncharted est vraiment plus basé sur les combats au flingue ; en tout cas le premier volet.

Wow purée les plan vu de loin c’est dingue. Le jeu est vachement linéaire mais ça fait son charme : on est comme au cinéma, sauf qu’on est acteur de l’histoire. La narration est embrassante.

C’est soit on se coltine deux/trois méchant tous les 7 mètres pendant 3h soit y’a personne. Tomb raider c’est à dose plus importante mais moins souvent.

Vraiment chaque cinématique est entrecoupé de tirs.

J’ADORE QUAND NATHAN ME CHUCHOTE « okay » À L’OREILLE !!

après avoir fini le jeu je peux dire que :

Ça devenait assez répétitif et je ne pensais pas qu’on resterait sur cette île. Les monstres m’ont surpris leur histoire était un peu bâclé. Néanmoins tout les développeurs ont pu allier différentes techniques et styles de jeu et créer une histoire qui malgré sa simplicité nous plonge dans l’univers de Nathan Drake.

Le jeu était peu réaliste dans l’histoire, l’évolution sur l’île etc. C’était assez pauvre niveau scénario. La relation entre Elena et Drake est trop cucu à mon sens. On ne connaît toujours pas bien Sullivan. Je constate que contrairement à Tomb Raider, les personnages sont peu développés et les cinématiques souvent inutiles et vides d’émotion.