2003 en 10 films

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De l'épique, mais sublimé par le soin apporté aux détails, par une foule de bruitages magnifiques, par une touche de fantastique bienvenue, et par 2 acteurs au top, qui parviennent à rendre palpable cette amitié entre le commandant et le médecin. Un immense film d'aventure, dont la plus grande réussite est de décrire avec justesse le quotidien des matelots.

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Un petit bijou tragi-comique, tendance rétro, avec un travail formidable au niveau de l'ambiance, des décors et des bruitages. A la fois déprimant et extrêmement drôle.

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Rob Zombie revisite ici l'intégralité du cinéma d'épouvante en le passant au filtre d'un humour noir ravageur. Et sous le rire, une ambiance inquiétante et malsaine...

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Du grand spectacle comme on en fait plus, avec un sens de l'épique impressionant et l'alliage idéal entre effets spéciaux artisanals et informatiques. Le tout parachevé par la foi un peu naïve de Jackson en son oeuvre, qui en fait trop, partout, tout le temps.

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Un trio (voire un quatuor) de personnages touchants par les relations qui se font et se défont et par leur rapport au monde, le tout baignant dans une ambiance miraculeuse tout à fait charmante, sans que pour autant le film ne soit niais.

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Un non-making-off saisissant, qui n'oublie pas de développer le côté humain tout en s'avérant être une mine d'or sur l'élaboration et le fonctionnement d'un tournage de film à grand budget.

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Balaguero, ou le maître du crescendo. Le thème de la contagion du mal est ici traité de fort belle manière, à l'aide d'une intrigue tendue à souhait, jusqu'à un acte final d'une démence sans pareil.

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Boyle reprend les codes des films de zombie et les remet au goût du jour. Il soigne ses ambiances et installe une tension de qualité sans pour autant renoncer à ses penchants de clippeur. Par ailleurs, comme souvent avec Boyle, le film manque de cohérence, avec deux parties très distinctes qui désarçonnent quelque peu la première fois.

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Un film qui fait un peu office de récréation pour Jarmush, avec des discussions absurdes, des digressions, des répétitions de motifs, et si ça n'a pas la portée de ses autres films, ça a quand même sacrément la classe.

Annotation :

Oui, Terminator 3. N'en déplaise aux détracteurs, je trouve que c'est même l'opus le plus équilibré de la série, celui où humour, action et noirçeur se conjuguent parfaitement, avec en prime un nouvel éclairage sur la question du libre-arbitre qui sous-tend la série.