2008 en musique

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[Folk]
Blue Water, Red Water, en parlé occidental.
Y a des albums comme ça, tu viens de les découvrir, et tu sais déjà que ça va être une grande histoire d'amour.

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[Musique inuite/Ambient ensorcelant]

Un disque à ne pas mettre entre toutes les mains, clairement. Troublant, obsédant et étrangement sensuel. Un mélange assez particulier entre ambient électronique et instruments acoustiques, avec même un peu du hip-hop qui s'invite par moment. Mais le plus impressionnant reste sans conteste les performances vocales, autours desquelles s'articule l'album, et qui sont pour le moins unique.
Pas un disque accessible, mais il est fascinant.

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[Jazz]
Une merveille de jazz, un disque où se côtoie virtuosité et émotion, tout proche de la perfection, tout proche...

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[Indie-rock/Country]
Ce disque a été mon premier contact avec ce qui allait devenir un de mes groupes favoris. Partant de là, j'ai forcément un attachement profond envers cet album. Il faut dire qu'il a de solides arguments, et qu'il contient un certain nombre de chansons parmi les plus belles de la bande, ce qui permet de passer outre les deux/trois titres un peu fades. Pour le reste, c'est du tout bon, et le mélange des genres est toujours aussi bien négocié de la part du groupe.

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[Tzigane]
Un live qui revisite le répertoire balkanique avec bonheur. Les morceaux sont pleins d’énergie, dansants, joyeux, et lorsque le tempo ralentit, c'est pour laisser place à des mélodies d'une grâce inespérée.

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[Death métal]
L'aboutissement du groupe. Toujours ces rythmes martiaux, cette ambiance hypnotique, avec de plus des audaces réjouissantes au possible (un rythme tribal par-ci, un vocoder par-là...), tout en maintenant une musique au service du message. Gojira s'impose définitivement comme un groupe de métal d'exception.

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[World/Electro]
Après 2 albums un peu bavards, Watcha Clan change d'optique et décide de faire passer son message sur le mélange des cultures à travers la musique plutôt qu'à travers les paroles. Pari gagnant, cet album, qui réunit musique maghrébine, balkanique, et électro, est une franche réussite, qui serait presque parfaite si le mixage n'était pas si faible.

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[Freak-folk]
Il est difficile de parler d'aboutissement pour Big Blood, tant leurs albums se suivent et se ressemblent. Cependant, j'ai une préférence pour celui-ci, parfaitement équilibré, rempli de balades délicates tout en maintenant cette ambiance si particulière, propre au groupe.

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[Folk psychédélique]
Bonjour, je suis Thanassis Papakonstantinou et je viens mettre à l'amende toute la musique occidentale en un album. Et ce n'est pas la première fois qu'il fait ça, le salaud.

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[Electro noise]
Ils ont bien arrondis les angles de leur musique par la suite, les deux, là... Les angles, ce premier album les a saillants, tranchants ; ce n'est pas un disque aimable, c'est un disque qui cherche à bousculer son auditeur, et qui y parvient. A bien des égards ça ressemble plus à du Sonic Youth qu'à un album d'électro lambda.

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[Pop]
Un opus plutôt rythmé, où la batterie est assez présente, avec toujours cette ambiance éthérée, légère, féérique.

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[Rock Alternatif]
Dernier album des Nick Cave norvégiens, avec toujours ce côté rock crooner à la voix grave. Une carrière de grande classe.

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[Math Pop]
Ce n'est pas les chefs d’œuvre qui arriveront par la suite, mais on n'en est pas loin, ça insiste un peu trop sur le côté "performance peut-être", mais autrement quel pied ! Quelle énergie !

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[Indie rock]
Avant d'écouter ce disque, j'étais septique. Les premiers titres ont confirmés mes craintes, et je me suis dit que l'indie rock n'était décidément pas fait pour moi. Puis une interlude délicate est apparue et m'a fait douter. "Fields of gold" m'a définitivement conquis ; et si je n'aime toujours pas le début de l'album, cela rend la suite d'autant plus belle.

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[Chanson française]
Cet album est bon. Cet album est drôle. Cet album est poignant. Cet album est simple et sophistiqué à la fois. Cet album, c'est de la chanson française comme on en fait plus.

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[Rap]
Très classique, et relativement répétitif, cet album n'en est pas moins excellent de bout en bout, porté par le flow hallucinant du rappeur et par une énergie noire, désespérée, qui élève l'album parmi les meilleurs du rap français.

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[Math-Rock]
De l'instrumental bien barré, bien rocambolesque avec ses riffs qui partent dans tous les sens, et toi qui est perdu au milieu, sans savoir à quoi t'accrocher.

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[Freak-folk]
Il y a un parfum d'apocalypse sur tous les albums de Big Blood, mais c'est sans doute sur cet album qu'il est le plus présent, pour mon plus grand plaisir.

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[Folk]
C'est mignon comme tout, léger, avec des chansons très courtes, comme des bonbons sucrés qu'on grignote sans pouvoir s'arrêter. Un album charmant.

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[Chanson humoristique]
Parce que Didier Super joue le gros beauf' à la perfection. Parce qu'il s'applique à détruire consciencieusement son album, en chantant n'importe comment et en rajoutant une tonne de détails saugrenus. Et parce que, malgré ça, les morceaux sont terriblement accrocheurs.