2014 : une année cinématographique

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Premier film de l'année et un divertissement agréable, quoique bien loin du Seigneur des Anneaux... Très (trop ?) jeu vidéo, un Legolas toujours aussi énervant mais Martin Freeman est au top.

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Une bonne surprise et un classique que je n'avais pas encore vu ! Chose faite... Dystopie très réaliste et plausible...

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Film du début de l'année 2014, largement primé, largement encensé, poignant et fort.

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Film choquant, difficile à regarder sur un sujet douloureux. Naomi Watts <3

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Il me manquait presque que celui-là avec Bruce Willis... Bon twist final.

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Beau, rafraichissant, irrévérencieux, français quoi...

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Grinçant (comme le bruit des glaçons), glauque et cynique. Très bon duo d'acteurs et réflexion métaphysique.

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Film étrange sur les maisons closes au 19ième siècle. Une esthétique très particulière.

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Réalisme américain implacable, sujet captivant et terrifiant. Une longue traque qui nous mène à Ben Laden et dans les coulisses des services secrets américain, dans un style quasi documentaire. Seuls les américains sont capables de faire ce genre de film implacable, froid et réaliste sur un sujet aussi sensible et douloureux.

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Les zombies reviennent !! Pour le meilleur et le pire...

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J'avais hâte de le voir, étant un fan inconditionnel du bouquin. Je suis ressorti deçu, car l'essence du livre est bien là, en substance, mais à peine effleurée. Dommage. Musique splendide.

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Encore Hannibal Lecter, personnage captivant. Mais pâle remake du Silence des Agneaux...

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Une petite pépite de SF, très réaliste, avec petit budget. Une triple interrogation sur le clonage, la solitude et le capitalisme...

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Le chef-d'oeuvre de l'année pour le moment. C'est beau à en pleurer.

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Un ministre qui fait voltiger les feuilles et qui se précipitent dans toutes les pièces du Quai D'Orsay, allant toujours de l'avant dans une tempête bureaucratique et une absurdité franco-française. Un aperçu des coulisses des ministères...

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Encore un chef-d'oeuvre de plus dépoussiéré et je ne le regrette pas. Film très fort qui semble d'une simplicité folle mais qui en fait d'une richesse et d'une complexité incroyable, politique, social, juridique, philosophique...

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Glaçant, monstrueux, génial : kafkaïen. Fable sur la monstruosité.

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Très beau, très spécial. Iconoclaste. Un scénario génial.

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Atmosphère et ambiance si particulières. Assez pessimiste et terrifiant.

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La petite touche d'humour à l'anglaise, la bonne campagne avec des personnages hauts en couleurs. Frais, léger, mignon et romantique.

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La comédie française de l'année 2014, dans une salle bondée et hilare. Un petit film sans prétention assez drôle qui évite la lourdeur et parvient à jouer des clichés racistes et religieux.

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Franchement déçu par ce film, trop BD, pas assez cinématographique. Etre fidèle à la BD, je suis partant, mais copier la BD , non non et non ! Du coup c'est souvent ridicule et pathétique... Ah oui et la fin est carrément foireuse.

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Un remake de la première trilogie des Spiderman. Outre cela, le charisme d'huitre des acteurs me laisse de marbre (rien à voir avec Tobey Mcguire et William Defoe quoi). En fait, Spiderman est juste très agaçant.

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Le contexte du film est tout simplement puisqu'alors très peu connu de moi. C'est une belle plongée dans un pays divisé entre chrétiens et musulmans, et un bel exemple de fraternité fragile. C'est aussi un film touchant sur les femmes, ces femmes méditerranéennes, avec leur caractère, leur joie et vivre et leurs airs tragiques. Un joli film, assez subtil.

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Film très beau esthétiquement, superbe musique, superbe photographie. Une scène d'anthologie sous fond de musique de 2001 d'une beauté fulgurante. Il aurait pu s'élever au-dessus de tous les films du genre, largement. Le plus dur était fait ! Mais non, toujours des GI surhumains, des héros plats (alors que les seconds rôles sont inexploités et c'est bien dommage), deux monstres mutants bizarres - et inutiles, un Godzilla devenu gentil (gentil mais il écrase et bute des centaines de gens quand même) et un scénario cousu de fils blancs (la première partie étant intéressante cependant). Bref, c'est aussi lourd que Godzilla mais aussi beau qu'un triptyque représentant l'Apocalypse. Mélange curieux entre forme superbe et fond merdique.

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Bon film historique, belle fresque grandiloquente. Christian Bale est convaincant mais son personnage m'énerve, avec ses délires sur les avions : fascination morbide pour les armes de guerre et en même temps souffrances subis à cause de ces mêmes instruments....

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Un classique du cinéma allemand contemporain. Rien d'original dans le sujet - variation autour d'une même situation. Mais Franka Potente crève l'écran, le rythme du film est fou.

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J'en attendais beaucoup, j'ai été un tout petit peu déçu. La photographie est certes magnifique, les effets spéciaux sont incroyables. Le concept de la solitude dans l'espace est terrifiant de réalisme. Mais voilà. L'histoire est assez simple finalement et le film traîne en longueur en faisant de Sandra Bullock une héroïne, un surhomme qui s'en tire en réussissant des trucs improbables et cocasses dans l'espace.... Ca gâche l'effet réaliste justement.

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Toujours un plaisir de voir un Coppola. Le sujet semble être un sujet vide. Elle parvient à faire dire des choses de ces ados en quête de reconnaissance, perdus, prêts à tout pour ressembler aux stars qu'ils idolâtrent. L'ambiance adolescente, mièvre, on retrouve les obsessions de la réalisatrice, sur un sujet assez particulier, un sujet vide...

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Hyperbole grecque. Tellement con mais tellement badass : énormes ralentis, combats épiques, délires héroïques, dignes de l'Iliade. Bref, je pensais tomber sur une suite de 300 totalement plate et inutile. Et je n'ai pas été déçu : c'est plat et inutile, mais carrément jouissif. Mention spéciale à Eva Green.