2020 : Game of Thrones, c'est terminé. Vais-je tout de même réussir à trouver des sources d'allégresse télévisuelles ? Réponse dans cette liste. - Mes visionnages de séries 2020.

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Saison 1 terminée.

Aussitôt vue, aussitôt oubliée. La saison 2 se fera sans moi.

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Saison 4 et série terminée.

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https://www.senscritique.com/activity/692248/15825386

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Série terminée.

Une série qui explore aussi bien les tréfonds de l'âme humaine que les défaillances de la société japonaise, dans une mise en scène qui se permet tout. Satoshi Kon ne surprend pas dans sa manière de raconter une histoire complexe pour quiconque connait ses longs-métrages, mélangeant les timelines et brouillant de plus en plus nos repères dans un montage qui rend de plus en plus poreuse, voire méta, la frontière entre imaginaire et réalité.

SPOIL

Le gamin à la batte représente pour chacun des nombreux personnages et en particulier pour l'héroïne qui l'a créé une manière d'échapper à leur triste réalité, et c'est seulement après avoir accepté la vérité et fait son deuil qu'on peut s'en débarrasser. Le panorama des problèmes auxquels fait face la société (pédophilie, prostitution, suicide, trouble dissociatif...) est bien complet avec presque un épisode dédié à chaque fois, et l'imaginaire est vu comme un échappatoire qui permet à chacun d'exorciser ses démons.

Très très bon anime donc, même si l'intrigue s'éparpille rapidement et que je trouve qu'il y a beaucoup trop de personnages, ce qui génèrera des épisodes moins pertinents car on n'a pas d'attachement immédiat à certains d'entre eux. Je comprends que c'est un choix pertinent qui sert le propos mais je préfère les histoires plus resserrées qui vont à l'essentiel lorsqu'il s'agit d'oeuvres aussi courtes. De même que le premier visionnage ne permet sans doute pas assez de profiter du génie de la série tant on attend le dénouement pour tout comprendre et que l'anime nécessite sans doute une relecture, malgré un suspense efficace qui m'a poussé à binge watcher.

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Série terminée.

Un peu trop sensationnaliste mais cohérente et logique dans la vision des conséquences d'un éventuel effondrement de notre société qu'elle propose, la série nous invite dans chaque épisode à voir l'un des aspects d'une crise mondiale sans précédent basée sur l'épuisement des ressources et les changements climatiques, qui donnent lieu bien souvent à des comportements individualistes d'où l'entraide disparaît pour laisser place à la survie dans ce qu'elle a de plus terrible.

La mise en scène qui fonctionne par plans-séquences uniques (avec ou sans triche, je ne sais pas) pour chaque épisode renforce l'immersion et le sentiment d'urgence, et c'est plutôt réussi. C'est décidément la mode en ce moment mais quand ça sert le propos, cela me va très bien. Le format court permet d'être immergé du début à la fin et de vivre la crise comme si on y était.

Sans doute trop pessimiste, mais le dernier épisode nous rappelle que si cela doit arriver, c'est justement parce que les alertes des scientifiques ne sont pas assez prises au sérieux aujourd'hui, et ce clash sur un plateau télé renvoie à des choses très connues du monde actuel.

Mention spéciale pour l'épisode de la maison de retraite, qui m'a le plus touché, et que j'ai trouvé le plus pertinent.

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Série terminée.

Je regarde peu de séries d'animation mais quand je tombe sur quelque chose d'aussi qualitatif que celle-ci, cela ne peut que me donner envie de poursuivre dans cette voie (et mon abonnement à Adult Swim permis par ma box va forcément m'y encourager).

Primal enchante d'abord par sa beauté visuelle à couper le souffle (l'épisode 4 et ses tons rougeâtres pour mieux souligner l'Enfer à ciel ouvert qui se déroule devant nos yeux est une véritable claque esthétique mais chaque épisode dans des tons différents met la barre très haute en termes d'animation). Mais la série effraye surtout dans le déferlement de violence qu'elle présente, à travers cette histoire d'amitié improbable entre un homme des cavernes et un dinosaure qui vont devoir collaborer pour survivre dans ce milieu si hostile. Les assaillants arrivent de toute part dans cet état de nature qui fait coexister les deux espèces de manière anachronique mais classique dans la fiction pour mieux dérouler devant nous la solidarité entre l'homme et la bête et leur union face au déferlement de violence qui s'abat sur eux mais qu'ils génèrent également. En découlent un vrai sentiment de satisfaction quand ils réussissent à survivre ainsi qu'un réel attachement à ces personnages malgré leur mutisme total. La mise en scène, essentielle pour combler ce manque de paroles, est une satisfaction totale tant elle arrive à être toujours fluide tout en variant le style des combats et en rendant le tout extrêmement dynamique avec des moments d'accalmie toujours touchants et bienvenus.

La fin étant à la fois terrible et frustrante, c'est avec impatience que j'attends la suite de cette grande réussite.

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Saison 4 terminée.

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Série terminée.

Des images époustouflantes, une technique incroyable, une narratrice qui se met au niveau de ce qu'on voit sous nos yeux (Samira Wiley) : Netflix frappe encore un grand coup en termes de documentaire animalier. Des épisodes inégaux mais tous nous font vibrer et partager les dangers auxquels font face les animaux la nuit de la meilleure des manières. On voit des espèces dont j'ignorais jusqu'à présent l'existence et en termes esthétiques cela prouve qu'il n'y a rien de plus beau que ce qu'a créé la Nature. Jetez-vous dessus, pendant que je vais me précipiter sur Notre planète.

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Série terminée.

J'ai largement préféré la deuxième saison à la première, qui monte d'un cran dans la qualité d'écriture, dans l'humour et l'émotion. La présence d'Andrew Scott et la relation de son personnage avec Fleabag y sont pour beaucoup.
Une petite série britannique vraiment sympathique à regarder, malgré un début poussif.

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Série terminée.

Un très bon anime made in France. Les épisodes s'enchaînent à une vitesse folle, l'action est omniprésente mais n'empêche pas des moments plus touchants et notamment la relation entre Richard et Siri. C'est original, complètement barré par moments, et l'humour n'est pas laissé de côté. Au top du divertissement.

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Série terminée.

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Saison 3 terminée, saison 4 en cours.

Avec Nonore. :)

Série contrainte d'être mise en pause suite à son retrait de Netflix...

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Reprise de la série à la saison 3.

Série finalement stoppée.

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Saison 3 terminée.

Un très bon dernier épisode qui vient plus ou moins sauver les meubles d’une saison en-deça des deux précédentes.

Je vais commencer par ce qui m’a plu. Les deux nouvelles recrues, Vincent Cassel surtout, mais aussi Aaron Paul que j’ai du plaisir à revoir même si son rôle est loin d’être à la hauteur de celui de Breaking Bad. Mais quelle classe, quel antagoniste génial cet Enguerrand Serac, bien aidé par le jeu et le charisme de l’acteur. Ses motivations sont suffisamment crédibles et logiques pour en faire un bon « méchant ». Quant à Caleb Nichols, il révèle tout son potentiel au fur et à mesure et l’histoire du personnage est particulièrement intéressante. La direction artistique vraiment convaincante du monde extérieur à Westworld plaide aussi en faveur de cette saison. Loin de s’inspirer du cyberpunk, sauf pour certains plans aériens en voitures volantes qui rappellent Blade Runner (y compris la musique), elle propose au contraire des environnements très propres et lumineux, contrastant avec le chaos régnant de plus en plus dans le monde. De manière générale, la prise de risque est à saluer car il fallait le faire pour changer complètement d’environnement et en ressortir une intrigue sinon correcte, au moins à la hauteur du standing de la série.

En revanche, la simplification du scénario et des timelines qui faisaient la force des deux premières saisons de la série pour finalement nous servir un message assez binaire sur le libre-arbitre, qui en creusant ne donne pas grand-chose de hautement philosophique, m’a déçu. Finalement, la saison 3 est un condensé de ce qu’on retrouve dans les œuvres actuelles (de science-fiction ou non d’ailleurs) comme constat amer sur le monde et la société d’aujourd’hui : difficile de ne pas penser à Joker ou Mr Robot dans le dernier épisode, la théorie de l’effondrement est aussi bien mise en avant tout au long de la saison, le message sur le big data utilisé à des fins transhumanistes, etc, et enfin la dernière scène qui est une très belle référence à un film que j’adore mais qui a 21 ans. Difficile de reprocher tout cela à la série car toute œuvre est le produit de son époque, mais à chaque fois Westworld souffrait de la comparaison avec ses références, sans en avoir la même profondeur ou le même impact émotionnel. Les scènes d’action sont même trop souvent présentes mais la mise en scène de celles-ci m’a peu marqué, et cela amplifie l’impression de lacunes scénaristiques ou du moins du manque d’idée

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Visionnage d'épisodes random sur Netflix.

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Série stoppée.

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Série stoppée.

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Série terminée.

Merci à Ed encore une fois, sans qui je serais sans doute passé à côté de cette merveille, en tout cas dans l’immédiat.

Je dévore rarement les séries en deux ou trois jours, pour qu’une série m’obsède à ce point, il faut qu’elle soit d’excellente facture, et pas seulement bonne, et c’est carrément le cas de Tales from the loop.

Dès le premier épisode, j’ai été immergé et embarqué par cette ambiance lancinante et mélancolique, qui fait inévitablement penser à celle de The Leftovers. Les deux séries partagent une bande originale assez ressemblante, très axée sur des mélodies de piano assez tristes qui se répètent, celle de Tales from the loop ayant été co-composée par l’immense Philip Glass, rien que ça. Mais elles partagent aussi le procédé narratif éclaté utilisé, à savoir focaliser un épisode sur un personnage ou un groupe de personnages en particulier, le tout dans un ensemble choral lié par un fil rouge de plus en plus accentué. Enfin, les thématiques de la vie, de l’humain, de la foi, du temps qui passe et bien sûr de la famille sont au coeur des deux séries.

Tales from the loop emprunte également à Black Mirror l’impact qu’a la technologie sur l’humain et les conséquences néfastes qu’elle peut avoir sur lui, mais là où Black Mirror se concentre vraiment sur cette négativité au point d’avoir des épisodes qui se finissent très mal, j’ai beaucoup plus entraperçu la notion d’espoir et de nostalgie dans Tales from the loop, d’où l’idée de série mélancolique et non triste ("Even in darkness you can see the light").

Faisant preuve d’une maîtrise assez rare pour être soulignée dans sa narration et dans sa direction artistique, cette série est une œuvre contemplative assez forte émotionnellement et nul doute qu’elle saura toucher ceux qui ont été émus aux larmes comme moi devant The Leftovers.

J’ai déjà recommandé cette série à plein d’amis, je souhaite désormais voir les notes de mes éclaireurs fleurir sur la fiche de la série, "like a blink of an eye".

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Série terminée.

J’ai littéralement adoré. Bon, il faut dire qu’entre Alex Garland et moi ça a toujours bien fonctionné depuis qu’il est passé à la réalisation. Après la claque Ex Machina, j’avais été séduit par son Annihilation, adaptation d’un livre tout juste bon qu’il a réussi à adapter librement, sans trop coller au matériau d’origine.

Ici, il continue dans ce qu’il sait faire de mieux, sans prendre d’énormes risques. J’ai lu dans une critique que Devs était « moche, mal cadrée, mal montée ». Pour moi c’est tout le contraire. Alex Garland, à la réalisation et au scénario sur tous les épisodes, prouve qu’il sait utiliser à bon escient le budget qui lui est conféré, en proposant un esthétisme propre, léché et constant tout au long des épisodes. Certains plans sont juste à tomber. De même que pour la lenteur supposée de la série et la platitude des dialogues pointées du doigt par cette critique décidément de mauvaise foi, je vais dans le sens opposé en affirmant que le côté contemplatif et lancinant, voire mélancolique, de la série en fait justement sa grande force. C’est le ton tout à fait adapté à l’humeur des personnages, à leur état mental secoué et mis à rude épreuve. A ce titre, Nick Offerman que j’aime de plus en plus, est parfait dans ce rôle de « messie » de l’informatique, qui cherche à prendre sa revanche sur la vie en développant le système au coeur de l’intrigue.

Sur le fond, Devs se veut même plus intelligente que la saison 3 de Westworld dans son questionnement philosophique et existentiel sur notre libre-arbitre, puisqu’elle allie véracité scientifique et de réels développements métaphysiques pour finalement tendre vers le fantastique, de la plus belle des manières, dans le dernier épisode.

Bref, difficile d’en dire plus sans spoiler. La série démarre sur les chapeaux de roue et se veut terriblement accrocheuse dans son approche de la science-fiction par la voie du thriller d’espionnage au départ, mais très vite, elle bascule dans un autre rythme et une autre tactique. Si les derniers épisodes se font moins attendre impatiemment que ceux du début, c’est justement pour mieux nous amener dans une logique différente, plus subtile et moins grossière, encore une fois assez proche de ce qu’avait apporté The Leftovers en termes de réflexion spirituelle.

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Série terminée.

Avec Nonore. :)

Une mini-série de quatre épisodes seulement qui sont de qualité égale, et qui a le mérite d’aller droit au but. Dénoncer les excès d’une religion peut conduire à marcher sur des braises, mais la série le fait brillamment, grâce à la qualité de ses interprètes bien sûr, mais aussi à une écriture subtile qui dans un montage parallèle et non linéaire alterne entre la vie chez les Juifs orthodoxes du quartier de Williamsburg à Brooklyn et la fuite de son héroïne à Berlin, où les mœurs sont beaucoup plus douces et progressistes. Cela permet de se rendre compte plus facilement du décalage qui habite l’orthodoxie juive par rapport au monde d’aujourd’hui, et à ce titre, l’épisode 3 sur les difficultés du couple à procréer, est particulièrement éloquent et choquant. Il démontre également le peu de considération que la religion a pour la femme en lui conférant un rôle réducteur de femme au foyer et de machine à reproduire.

On peut regretter certaines facilités liées au format comme le fait que les jeunes de Berlin acceptent Esty est un peu trop facilement dans leur bande et qu’elle puisse passer une audition à la Philharmonie malgré son niveau. Malgré cela, Unorthodox met le doigt sur une réalité particulièrement triste et délivre un bon message d’espoir pour les personnes coincées dans ce genre de communautés.

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Série terminée.

Quand Rick et Morty rencontre l'émission Les chemins de la philosophie sur France Culture.

Le crossover le plus improbable de l'histoire qui fonctionne pourtant à merveille, emballé dans une esthétique psychédélique et une explosion de couleurs vives et de formes ravissantes. Sérieusement, j'aurais bien fait pause toutes les 5 secondes pour faire des captures d'écran si Netflix le permettait, tellement l'animation est de qualité supérieure pour quiconque ne craint pas les crises d'épilepsie.

Mention spéciale au dernier épisode, particulièrement touchant.

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Série terminée.

Une série forcément clivante, que je recommanderais uniquement à ceux qui sont clients des œuvres de Sion Sono, tant ce qu’elle propose est unique et en dehors de tous codes.

Tokyo Vampire Hotel est non dénuée de défauts, je ne suis pas sûr d’avoir tout compris et la narration est parfois fortement confuse, mais le plaisir de visionnage ne se situe pas là-dedans. C’est avant tout un déferlement d’action ultra-jouissif, avec en point d’orgue le premier épisode tellement réussi qu’on regrette un peu après coup que le récit s’enferme dans l’hôtel, mais surtout l’épisode 7 qui a de quoi faire pâlir tout le cinéma de Tarantino et de Park Chan Wook dans sa mise en scène des combats au sein de l’hôtel Requiem. La série est vraiment généreuse dans ce qu’elle propose, à la fois dans son esthétique très léchée (certains plans m’ont vraiment marqué) et surtout dans son rythme effréné, bien que cette œuvre souffre tout de même de problèmes de découpage criants (les trois derniers épisodes forment ainsi un tout trop longuet à mon goût après le cimax de l’épisode 7). Entre temps, Sion Sono ne nous balade jamais là où on l’attend, et on a beau se préparer à toutes les éventualités, on est souvent surpris par les choix opérés par le réalisateur : ainsi, dès l’épisode 2 il propose un énorme retour en arrière qui vient casser l’élan donné par l’épisode 1, mais l’épisode est fortement réussi et musicalement au top.

Bref, une série fortement sous-cotée par la moyenne SC, c’est évident qu’elle a quelque chose de très radical et son déferlement de violence pourra rebuter le spectateur lambda, mais on ne peut nier qu’il s’agisse d’une œuvre forte, assumée et dont les atouts surpassent largement les défauts qui passent au second plan à partir du moment où on rentre dans le jeu du cinéaste japonais.

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Série stoppée.

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Série stoppée.

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Série terminée.

C'était vraiment moyen, entre les incohérences à la pelle, l'absurdité des situations auxquelles on ne croit pas et la forme très jolie qui cache les lacunes d'écriture... Tout n'est pas à jeter, mais on est à mille lieues de l'ambiance et de l'excellence de Vol au-dessus d'un nid de coucou. J'ai rien contre le fait de proposer quelque chose de différent, comme avait su si bien le faire Watchmen par exemple, mais je préfère quand c'est bien fait. Là, ça vole vraiment très bas dans la caricature de la maladie mentale et de ce qu'est réellement un hôpital psychiatrique. Beau mais raté.

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Série terminée.

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Série terminée.

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Série stoppée.