2020 : le trip musical 3

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Malgré l'importance nouvelle que prend la batterie, le génial Caldonia et l'ajout de l'accordéon, difficile de ne pas se lasser face à un Muddy Waters qui répète éternellement les mêmes motifs depuis plusieurs albums, avec de moins en moins d'énergie. Même si le charme opère toujours un peu ...

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8,5/10

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Ouais c'est bien rock, mais en même temps trop de distorsion tue la distorsion et moi Muddy, je l'aime bien quand il est plus créatif et qu'au lieu de foutre de la fuzz partout il réinvente les schémas blues traditionnels. Ce qu'il fait à peine (essentiellement dans le très rythmique I Can't Be Satisfied, entre tradition et modernité).

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Non seulement dès son premier album Chuck Berry démontrait un sens du rythme extraordinaire, une belle maîtrise de sa voix magnifique et un talent de parolier très supérieur à tout ce qui se faisait à l'époque (c'est autre chose que Buddy Holly !), mais il était en plus largement en avance sur son temps : on remarque dès la première écoute l'influence énorme qu'il a eu sur les grands artistes qui l'ont suivi ou accompagné : de Muddy Waters (Hoochie Coochie Man possède la même structure que No Money Down) à AC/DC (The Jack qui reprend la ligne de basse et la rythmique de Deep Feeling) en passant bien sûr par les Beatles

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Je m'arrête là avec le jazz pour l'instant (je suis pas allé bien loin) : c'est pas mon truc. J'y reviendrais dans quelques temps

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10/10 si il y avait eu Rock Around With Ollie Vee et Ready Teddy. Le meilleur de la pop/rock blanche américaine de la fin des années 50.

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Ce premier opus des Iron Maiden est comme une symphonie, d'où surgissent des émotions diverses. Et ça n'a pas pris une ride.
Néanmoins on peut regretter de manière générale un manque d'ampleur du son que ne masquent pas les cavalcades des guitaristes.
Sinon, je retiens surtout le magnifique Strange World et l'épique Phantom of the Opera.

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Malgré le génie des compositions et l'intérêt du mélange des genres, l'album ne décolle jamais vraiment. La faute à un manque de cohérence globale : Gorillaz est une sorte de compilation dont trop de morceaux ressemblent à des interludes oubliables.
Cela dit, ça reste plaisant.

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+2 points dès la deuxième écoute : c'est du bon !

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Claque monumentale. Que le rap convie autant d'émotion en 16 morceaux, c'était impensable.

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C'en devient écœurant. Ça ne s'écoute bien qu'avec l'humeur qui va avec, et quand c'est le cas ça reste fun.

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(1e écoute) Les Beatles parviennent à ennuyer sur un disque de 30 minutes ... entre deux ballades insipides, ils tentent timidement d'imiter les classiques rock Chuck Berry, Buddy Holly et Carl Perkins sans jamais dépasser l'original, et le son rock'n roll donné à la guitare de George ne fait jamais décoller l'album.

(Après plusieurs écoutes) Finalement on se prend à chanter de bon coeur les ballades rock/folk et même à aimer les reprises de Buddy Holly et Chuck Berry. Se dégage quand même une impression de légèreté et de fadeur qui empêche l'album de prendre de l'ampleur ou de l'intensité.

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L'échec le plus réussi de l'histoire du Rock.

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Cacophonie magnifique