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50 jeux vidéo

créee il y a plus de 4 ans · modifiée il y a 12 jours

Death Stranding
7.6

Death Stranding (2019)

Sortie : 8 novembre 2019. Action-Aventure, Survie

Jeu sur PlayStation 4, PC, PlayStation 5

Player-Fou a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Fini le 08/01

Pas facile d'avoir une opinion précise sur ce Death Stranding une fois l'aventure bouclée. Même sans parler de si je suis rentré dans le délire ou pas, car il y a vraiment des trucs aberrants, comme, par exemple les véhicules, absolument injouables car pas du tout adaptés à la topographie de la map, ou encore les phases de TPS qui semblent avoir 15 ans d'âge : Resident Evil 4 est aujourd'hui encore bien plus intéressant à jouer que ces phases de shoot dans Death Stranding. Et je suis sûr qu'en me creusant encore un peu la tête, je repenserai à d'autres énormités. Seulement, voilà, je pense au final que Death Stranding rejoint Breath of the Wild, ou encore Silent Hill Shattered Memories sur un point bien précis. C'est à dire qu'il semble avoir été entièrement pensé et calibré pour mettre son expérience et son propos en avant. Je veux dire, le principe même du jeu est de réunir les gens, de les rassembler dans un monde où la nature a repris ses droits, alors que se profile une nouvelle extinction de masse. Et dans ce cadre là, je ne peux pas m'empêcher de me dire que c'est finalement plutôt un point positif que d'avoir un système de combat totalement à la ramasse. Ça invite finalement le joueur à adopter une autre stratégie que l'attaque frontale et directe, pas parce que tout ça est fondamentalement dangereux, mais parce que c'est réellement déplaisant. Il en va de même pour les boss, qui semblent systématiquement faire tout leur possible pour être le moins fun possible (à l'exception peut-être d'un en particulier), malgré un sens du spectacle assez puissant. C'est quand-même assez couillu comme parti-pris dans un jeu à gros budget comme ça, que de rendre le concept même de confrontation déplaisant. Ca me fait penser encore une fois au Silent Hill de la Wii qui n'avait comme seul réel défaut que ses phases de poursuites absolument confuses et injouables, et donc, fortement désagréables, ce qui, finalement, renforçait bien d'avantage l'expérience qu'il n'y parait, et l'impact du jeu aurait été bien moindre sans ces phases fastidieuses. Là, c'est pareil. Je ne peux malheureusement pas parler de tout en l'état, et laisse donc de coté tout l'aspect scénaristique, narratif, ou encore visuel et sonnore , et dirais simplement que ce Death Stranding, plus que d'être juste différent pour être différent, propose une expérience entière. Une expérience à laquelle tout le monde ne peut pas être réceptif, mais qui va au bout de son propos.

Onimusha: Warlords
7

Onimusha: Warlords (2019)

Sortie : 15 janvier 2019 (France). Action

Jeu sur PlayStation 4, Nintendo Switch, Xbox One, PC

Player-Fou a mis 7/10.

Annotation :

Fini le 12/01

La vache qu'est-ce que c'était court ! D'habitude c'est clairement pas un truc dont je me plaint, mais là, à peine plus de trois heures pour en voir le bout, j'imagine à peine ceux qui l'ont fait à l'époque, ça devait être la douche froide ! Bon, en l'état, je me plaint pas, l'ayant fait sur le remaster, en connaissance de cause, et alors qu'il ne m'aura rien coûté. J'ajouterai même que cette courte durée de vie doit en faire probablement un jeu totalement speedrunable, et ça c'est beau ! Sinon le jeu, bah, ça passe, mais c'est clairement pas l'idée du siècle de faire un jeu de Samourai à la Resident Evil, ou en tout cas pas avec ces caméras fixes, pas comme ça. Là plus d'une fois je me suis pris une flèche en pleine poire parce que y avait un archer ou deux qui m'attendaient dans le contre-champ. De plus les changements de caméra au pif en plein combat juste parce que y a un mob qu'est positionné à la limite du champ de vision, ça devient rapidement insupportable. Mais à part ça, c'est amusant, l'ambiance est là, le doublage anglais est parfaitement daubé, et je regrette de pas pouvoir améliorer ses armes hors des points de sauvegarde (même si je comprends le délire), ce qui peut par moments entrainer certaines frustrations, parce qu'on a pas pensé à améliorer la bonne orbe au delà du niveau 2, alors qu'on nous demande le niveau 3, que y a aucun point de save de toute la zone, et que bah c'est couillon, tu peux plus sortir de la zone, comme c'est trop pas d'bol ! Au final, je regrette pas de l'avoir fait, mais ça restera pas dans mes jeux fétiches.

Marvel's Spider-Man : Le Casse
6.6

Marvel's Spider-Man : Le Casse (2018)

Marvel's Spider-Man: The Heist

Sortie : 23 octobre 2018. Action-Aventure

Extension sur PlayStation 4, PlayStation 5, PC

Player-Fou a mis 5/10.

Annotation :

Fini le 17/01

Dans la continuité du jeu de base, que j'avais vraiment aimé, ces nouvelles missions nous proposent de faire un petit bout de chemin avec Black Cat, ce qui est toujours sympa. Seulement voilà, ce DLC n'a vraiment rien de plus à proposer, et tant qu'à faire j'ai quand même le souvenir que c'était un minimum plus intéressant sur le jeu de base. Ici on a une histoire peu palpitante, avec un genre de "twist" grillé à dix mille kilomètres (syndrome Arkham Knight). Et tout ça ne m'a pas fondamentalement donné envie de poursuivre l'aventure avec les deux autres DLC que j'ai pourtant en ma possession grâce au season pass.

Devil May Cry 3: Special Edition
7.8

Devil May Cry 3: Special Edition (2006)

Sortie : 29 septembre 2006 (France). Action, Beat'em up

Jeu sur PC, PlayStation 2, PlayStation 3, Nintendo Switch, PlayStation 4

Player-Fou a mis 7/10.

Annotation :

Abandonné au boss final le 18/01

J'avoue avoir du mal à comprendre l'engouement autour de ce Devil May Cry 3, c'est la BASE me disait-on, le meilleur jeu de la saga, toutes ces sortes de choses... Mouais, j'ai peut-être pas fini le jeu, mais je pense quand-même qu'après être arrivé jusqu'au boss final je sais à peu près de quoi il retourne, et pour le coup, je garde un bien meilleur souvenir du premier DMC, et me suis relativement plus amusé sur le remaster du 4 (soit disant l'un des plus pourris d'après ce que j'ai compris). Ou alors probablement que c'est justement ce qui fait que j'accroche moinsse à ce DMC3 qui le rend si supérieur pour bien d'autres. Car voilà, si je me suis amusé sur la douzaine d'heures que j'y ai passé, c'est clairement pas un jeu qui est fait pour moi, un peu comme pour Vanquish en fait. Le scénario est parmi les plus inintéressants qu'il m'ait été donné de jouer, avec des personnages tous plus insupportables les uns que les autres, et un accent mis sur ce gameplay qu'il faut maitriser pour espérer avancer. Sauf que voilà, moi ça m'intéresse pas des masses, et le truc qui fait que j'ai apprécié les Bayonetta, bah c'est justement le personnage de Bayonetta. Ici nous avons peut-être la version la moins charismatique et intéressante de Dante que j'ai vu jusqu'à présent (pas encore fait DMC5, et je toucherai probablement jamais au deuxième). De plus, si le gameplay était vraiment optimal, je dirais rien, mais c'est même pas le cas, outre les styles que l'on ne peut changer qu'à certains spots spécifiques, et non à la volée comme dans le 4 me semble-t-il, on est obligé de composer avec des angles de caméra par moment tout simplement abominables rendant l'action peu claire et vraiment imprécise, ce qui vient encore compliquer les affrontements déjà clairement pas simples (j'avais rajquit sur le premier boss à l'époque, et j'ai cette fois encore failli réitérer). Après, je reconnais bien des qualités, c'est beau, y a une super direction artistique, les boss sont tous très bons (par contre faut vraiment arrêter ces derniers niveaux dans lesquels on te fait enchainer tous les boss d'affilée, c'est insupportable) et surtout, ça pulse bien, y a un vrai bon feeling manette en main et je regrette pas d'être arrivé jusqu'au boss final. Mais je regrette pas non plus d'avoir vu la fin sur youtube, et je préfère clairement DMC 1 ou 4, ou encore les Bayonetta. J'ai hâte de tester DMC 5 maintenant.

Devil May Cry 5
7.4

Devil May Cry 5 (2019)

Sortie : 8 mars 2019. Action-Aventure, Beat'em up

Jeu sur PlayStation 4, Xbox One, PC

Player-Fou a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Fini le 24/01

Eh bah voilà, là on parle ! Là il se passe quelque chose ! Autant le dire de suite, si j'ai bien envie de me refaire le premier DMC dans pas trop longtemps, ce Devil May Cry 5 est largement mon préféré de la série, et de loiiiin ! On reprend les bases solides des précédents épisodes, avec des boss de qualité, un gameplay riche et une direction artistique soignée, et on te rajoute des petits trucs qui semblent n'être que peu de choses, mais qui changent toute la donne. Avant tout, fini la caméra fixe ! Alors certes il n'y a plus cet effet "wouah" qui était très plaisant quand on débarquait dans une salle hyper stylée et mise en valeur par une caméra au ras du sol (par exemple). Mais bon sang, on y voit tellement mieux, c'est fou ! Alors c'est pas parfait non plus, mais y a quand même une nette amélioration. Et puis là où j'avais trouvé le scénario des DMC 4 et 3 peu engageants au mieux, eh bien je dois dire que je me suis laissé embarquer par l'aventure DMC 5. Ça casse toujours pas cinq pattes à un ornithorynque, mais ça se laisse bien suivre, notamment grâce aux personnages quasiment tous charismatiques et qui rattrapent largement les twists hyper prévisibles. Enfin, ce cinquième épisode reprend le concept des plusieurs personnages à la DMC 4 (et 2 me dit-on), mais c'est ici tellement mieux géré, d'autant que si Dante reste égal à lui même, Nero est bien plus plaisant et intéressant à jouer que précédemment, et le nouveau venu, V, embarque avec lui un tout nouveau gameplay radicalement différent de ce qu'on connait, mais une fois habitué, ça se joue vraiment bien. En bref, c'est globalement un sans-faute pour ce DMC 5 (si l'on excepte ces bonus de connexion absolument improbables...) ainsi que pour capcom depuis quelque temps en espérant que ça dure. J'ai maintenant hâte pour Resident Evil 3 remake !

Resident Evil 7
7.3

Resident Evil 7 (2017)

Biohazard 7

Sortie : 24 janvier 2017. Action-Aventure, Survival horror, FPS

Jeu sur PlayStation 4, Xbox One, PC, Nintendo Switch, Streaming, PlayStation 5, Xbox Series X/S

Player-Fou a mis 7/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Re-fini le 02/02

Bon, finalement, ce RE 7 supporte moinsse la rejouabilité que je ne l'aurais cru. Sans aller jusqu'à dire que je ne me suis pas amusé, je dirais quand même que c'était sacrément moins intéressant que lors de mon premier run. J'imagine que la structure répétitive doit être clairement plus visible, ce qui est sûr c'est qu'après des jeux tels que Death Stranding ou encore DMC5, ce Resident Evil 7 pique un peu les yeux. L'ambiance est là, mais clairement c'est pas non plus au top du top techniquement parlant, le jeu se veut peut-être trop riche visuellement, nottamment lors de l'introduction, de jour dans le bayou, c'est juste moche, et je vais même pas évoquer les cheveux parce que là je vais devenir grossier tellement c'est dégueulasse. Aussi je ne suis clairement pas fan de cette mis en scène pensée pour la VR, à base de visage et de grimace en gros plan qui te fixent, et pour le coup, les animations de visage sont également à revoir. Enfin, un mot sur le gimmick des VHS, dont je n'ai clairement pas compris l'intérêt, hormis pour un puzzle assez bien branlé, mais qui peut totalement être gâché si on n'a pas trouvé la dite VHS. Et je parle même pas de leur intégration scénaristique absolument improbable là. Bref, ça reste un jeu très sympa, qui dégage de bonnes sensations, et une bonne expérience, mais c'est clairement pas la folie non plus, et le Resident Evil 2(019) l'atomise sur à peu près tous les points.

Prince of Persia : Les Sables du temps
7.3

Prince of Persia : Les Sables du temps (2003)

Prince of Persia: The Sands of Time

Sortie : 21 novembre 2003 (France). Plateforme, Action, Aventure

Jeu sur PC, PlayStation 2, GameCube, Xbox, Game Boy Advance, PlayStation 3, Xbox One, Xbox Series X/S

Player-Fou a mis 10/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Re-fini le 17/02 (en ~ 4h40, mon nouveau record perso)

Ca fait du bien par où ça passe, clairement, si le jeu a pris un coup de vieux sur plein de points, comme les combats vraiment peu palpitants et très vite redondants quand on a compris la technique, où encore la structure même de l'aventure très peu surprenante (save, plate-forme, bagarre, save, énigme, save), le charme opère toujours à merveille. Parce que le gameplay fonctionne, et que l'ambiance, juste monumentale, est renforcée par cette unité de lieu, puisqu'on ne sort pas du palais du sultan, on a vraiment l'impression d'explorer les environs, quand bien même on ne fait que suivre un couloir tout tracé, et ça c'est fort. Par ailleurs, si je trouve que la structure manque aujourd'hui de surprise, il faut quand même préciser que cette partie doit approcher de ma dixième run de l'aventure, et qu'à l'époque, il y a de cela des an-nées, je n'avais clairement pas fait attention à ce point. Et ainsi, sur la douzaine d'heures qu'à duré ma première partie (je devais être sacrément nul à l'époque nomdediou), je n'avais certainement pas trouvé le temps de me lasser, et aujourd'hui, le constat reste le même. Un de mes jeux préférés de la vie, pas loin de Silent Hill 2, Kotor et Metroid Prime, tellement ancré en moi que je le connais à peu près par coeur maintenant, et que relancer l'aventure est toujours synonyme de fun pur, malgré un boss final vraiment claqué au sol. En route pour L'âme du guerrier, maintenant, que je n'ai, lui, jamais fini !

Prince of Persia : L'Âme du guerrier
6.7

Prince of Persia : L'Âme du guerrier (2004)

Prince of Persia: Warrior Within

Sortie : 2 décembre 2004 (France). Action

Jeu sur PC, Xbox, PlayStation 2, GameCube, PlayStation 3, iPhone

Player-Fou a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Fini le 20/02

Eh beh alors, il est très bien ce Prince of Persia 2 enfin ! Je l'avais commencé il y a plusieurs années, sans en venir à bout, pour Dieu sait quelles raisons. Maintenant que j'ai recommencé le jeu, et fini l'aventure, avec la vraie fin, je m'interroge d'autant plus, surtout que je m'étais vraiment arrêté à deux heures (max) de la fin. Bref, Prince of Persia l'âme du guerrier est un très bon jeu, voilà, on reprend toutes les bonnes bases posées par Les Sables du temps, et on te l'améliore, donc partant de là, rien à redire ! Les phases de plate-forme étaient déjà de haute volée (sans mauvais jeu de mot) à l'époque, elles sont ici dans la même veine, et les combats, éminemment répétitifs dans le précédent jeu, sont bien plus intéressants ici, et bien mieux intégrés, il n'y a d'ailleurs plus de séparation précise entre phase de plate-forme et phase de bagarre. La structure du jeu est donc moins "évidente" sur ce point, d'autant plus que cette fois-ci, l'aventure crée une vraie sensation d'exploration, avec cet immense palais de l'île du temps, véritable aberration architecturale, mais véritable petite pépite vidéoludique. Pour un peu on se croirait sur God of War, cinq mois avant God of War. Et c'est peut-être ça la sensation la plus présente manette en main. Sans parler du gameplay, très différent dans les deux jeux, il y a quand même de grande similarités entre les deux. Que ce soit par ce temple immense que l'on explore petit à petit, ou bien entendu l'introduction en bateau sur une mer déchaînée. Et là je ne parle même pas de l'univers du prince éminemment plus bourrin que par le passé, celui-ci n'hésitant pas à raboter ses adversaires à la manière de Kratos. Là où ça pose problème, c'est que quand, comme moi, on a déjà retourné God of War dans tous les sens, bien obligé de reconnaitre qu'ici bah c'est quand même moins bien, moins maitrisé. Là où God of War proposera une aventure fluide en toute circonstance, ce Prince of Persia sera très chancelant sur son framerate, la musique sera également bien moins marquante, et l'histoire (qui inspirera très probablement celle de God of War 2, ça ne fait aucun doute) est ici tout bonnement bidon et inutilement alambiquée, malgré de plutôt bonnes idées. A noter aussi un jeu bien buggé, à base de boss final qui reste debout malgré une jauge de vie intégralement vidée, voire même simplement de plantage m'obligeant par exemple à redémarrer la PS2, sans parler des problèmes de son divers et variés.

Prince of Persia : Les Deux Royaumes
6.8

Prince of Persia : Les Deux Royaumes (2005)

Prince of Persia : The Two Thrones

Sortie : 8 décembre 2005 (France). Action, Plateforme

Jeu sur PC, Xbox, PlayStation 2, GameCube, PlayStation 3

Player-Fou a mis 6/10.

Annotation :

Abandonné le 21/02 pour cause de bug bloquant à une même pas une heure de la fin de l'aventure, et que je suis trop con pour save sur une nouvelle slot à chaque fois, et ça prouve bien qu'on a pas attendu la génération actuelle pour sortir des jeux finis à la pisse

En soi, peu m'importe de ne pas être venu à bout de cette dernière aventure du prince de perse, puisque j'étais déjà parvenu à terrasser le boss final il y a presque dix ans, mais merde, ça fait chier, clairement. D'un autre coté, j'ai tellement roulé sur le jeu, il a probablement cherché un stratagème pour ralentir ma progression, bravo le veau finalement ! Et si au moins le jeu était irréprochable à coté de ça, mais non, parce que c'était sans compter sur un système de combat copié/collé de l'épisode 2, mais qui semble pourtant plus confus et brouillon, sur des phases de plate-forme où les pièges ont été relayés au rang de stagiaires, ils se contentent d'apporter le café de temps en temps maintenant, et le classique mixage sonnore totalement claqué au sol, avec des voix par moment absolument inaudibles, et une musique qui s'ambiance beaucoup trop. Alors certes l'histoire est probablement plus intéressante que précédemment, et la VF est assez stylée dans son casting vocal, avec notamment Marc alfos dans le rôle du vizir, mais puisqu'on entend rien quand le Prince parle en jeu, tout l'aspect narratif en prend un coup. Et pour ce qui est du design du jeu, on sent une volonté de faire quelque chose de moins vertigineux et de plus réaliste dans les environnements et architectures. Alors, en soi, certes, pourquoi pas, mais en l'état, ça me semble totalement incompatible avec le gameplay Prince of Persia, étant donné qu'on a toujours des portes à ouvrir à base de plaques de pression, par exemple et de passages accessibles uniquement en plantant sa dague dans des spots précisément prévus à cet effet. Et à coté de ça, comme dit plus tôt, les pièges sont bieeeeen moins présents que par le passé (ouais, les sables du temps tout ça...). Bon à coté de ça, débarquent les courses de char, très sympa, assez corsées, avec de bonnes sensations manette en main, bref, c'est stylé, malheureusement, y en a que deux, en tout et pour tout dans l'aventure, c'est quand-même con, parce que vraiment ça renouvelle très bien l'aventure, et la mise en scène est super efficace. Bref, autant L'âme du guerrier m'a étonnament bien plu, cette deuxième run des Deux Royaumes (mon tout premier jeu PS2) m'aura vraiment déçu...

Red Dead Redemption
8.2

Red Dead Redemption (2010)

Sortie : 21 mai 2010 (France). Action-Aventure

Jeu sur PlayStation 3, Xbox 360, PlayStation 4, Nintendo Switch, PlayStation 5

Player-Fou a mis 8/10.

Annotation :

"Re"-fini le 18/03

Mon ressenti vis à vis de ce Red Dead n'a cessé d'évoluer durant toute cette nouvelle run, passant de "Eh mais c'est trop bien en vrai, c'est bizarre qu'il ne m'ait pas marqué à l'époque !" à "Je relancerai bien Red Dead 2 en vrai", en passant par du "c'est quand même pas très folichon" ou encore "wow truc de fou !" En vérité, mon ressenti une fois l'aventure bouclée à nouveau fut exactement le même qu'à l'époque, à savoir que c'est peut-être hyper impressionnant, hyper bien écrit, et super grand, avec plein de choses à faire, mais qu'en même temps, c'est vraiment furieusement répétitif, on fait toujours la même chose, avec l'exacte même structure des missions, les même gunfights, etc. Pour tout dire, je trouve ce Red Dead Redemption bien plus intéressant quand il nous propose pas de nous la jouer pistolero dans le grand ouest américain, pour plutôt nous immerger dans la vie quotidienne de ce cher John Marston, ce qui n'arrive finalement que pendant le quatre premières heures, et les trois dernières. Entre temps, bah c'est du tps relativement sympathique mais pas non plus transcendant, porté par des personnages tantôt charismatiques (Bonnie, Landon, Luisa...), tantôt insupportable (le premier acte est une horreur à ce niveau là avec le trio Seth, Dickens, et l'irlandais) et une histoire qui ne semble véritablement être qu'un prétexte à distribuer la chevrotine. Cependant, l'écriture est assez convaincante pour nous faire vraiment accrocher à tout ça, nous faisant pleinement ressentir le passif des personnages centraux, effet largement renforcé (ou amoindri, c'est selon) en ayant en tête les événements de Red Dead 2. Et finalement, mon principal "problème" avec ce Red Dead Redemption premier du nom, c'est que l'accent n'est vraiment pas assez mis sur le RP à mon sens, mais je me demande si j'aurais ressenti ce même problème si j'avais pas joué à sa suite. Cependant déjà à l'époque, j'avais clairement ressenti un manque d'implication narratif, en me rendant compte que tous les personnages qu'on croise ne sont que de passage, et le meilleur exemple est clairement Bonnie, qui est hyper importante au début du jeu, et dont on n'entend plus parler pendant vingt heures, avant deux petites apparitions finales. J'aurais vraiment aimé pouvoir suivre sa vie occasionnellement, passer dire bonjour. Et ça, j'ai pas attendu Red Dead 2 pour le déplorer.

Marvel's Spider-Man : La guerre des gangs
5.8

Marvel's Spider-Man : La guerre des gangs (2018)

Marvel's Spider-Man: Turf Wars

Sortie : 20 novembre 2018. Action-Aventure

Extension sur PlayStation 4, PlayStation 5, PC

Player-Fou a mis 6/10.

Annotation :

Fini le 19/03

Si cette deuxième partie du DLC Spider Man est pas forcément plus intéressante que la première, je dois bien dire que je me suis moins emmerdé dans celui-ci, l'histoire parait un peu moins grillée à des kilomètres, et ca passe relativement vite, bref, ça passe quoi, et ça me donne d'avantage envie de voir la suite que l'épisode précédent.

Marvel's Spider-Man : Le retour de Silver
6.4

Marvel's Spider-Man : Le retour de Silver (2018)

Marvel's Spider-Man: Silver Lining

Sortie : 21 décembre 2018. Action-Aventure

Extension sur PlayStation 4, PlayStation 5, PC

Player-Fou a mis 6/10.

Annotation :

Fini le 21/03

Je dois dire que je suis pas bien convaincu par toute cette affaire. L'histoire globale de ces DLC est plutôt sympa, mais son traitement ne marche absolument pas, non seulement parce que le tout est rushé comme pas permis (Black Cat qui fait un caméo dans ce dernier épisode, en surgissant de nulle part pour donner une info et disparaitre de sitôt, Yuri qui est carrément réduite à une quête annexe, sans déconner !) et surtout l'histoire me semble possiblement trop important pour son format. Ainsi ceux qui n'auront pas fait les DLC auront probablement du mal à comprendre l'évolution de certains personnages que l'on reverra probablement dans la suite. Ah, aussi, je n'ai pas du tout apprécié le traitement d'Hammerhead dans cette trilogie. J'ai clairement pas l'impression que ce soit un bad guy suffisamment intéressant pour baser trois DLC sur sa pomme, mais ce qu'ils en font dans cette troisième partie achève de me le rendre ridicule, et en plus le truc est hyper expédié c'est abusé. Je me demande si le deuxième DLC n'offrait pas une meilleure conclusion sans son twist post-credits. Bref, un gros meh qui tâche, rattrapé par le fait que quand même, ça se joue bien, et c'est toujours aussi kiffant de se balancer de toile en toile, mais ça manque beaucoup du theme de Danny Elfman...

Metro 2033 Redux
7.3

Metro 2033 Redux (2014)

Sortie : 28 août 2014. FPS

Jeu sur Nintendo Switch, PlayStation 4, Xbox One, PC, Mac, Linux

Player-Fou l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Fini le 23/03

Compliqué de donner un réel avis sur ce jeu sachant que ma run s'est étirée de fin 2017 à aujourd'hui, sans recommencer de partie entre temps. Je ne saurais vraiment pas dire pourquoi j'ai mis plus de deux ans à faire ce jeu, c'est un véritable mystère pour moi, parce qu'en plus en relançant ma partie il y a quelque jours, j'étais vraiment à fond, et il m'a fallu même pas deux jours pour finir cette petite moitié qu'il me restait à faire. Et j'ai vraiment beaucoup aimé cette moitié de jeu, vraiment, avec un casque sur les oreilles, l'immersion était vraiment topissime, et de vraies sensations se passaient manette en main ! Alors vraiment, je ne peux que rester interrogatif face à ma non-volonté de finir ce jeu en 2017, d'autant plus que j'avais beaucoup aimé Last Light à l'époque, et qu'il me tarde de le refaire maintenant avant de passer à Exodus qui vient de grimper en flèche dans ma liste des jeux qu'il faut que je rattrape !

Metro: Last Light Redux
7.4

Metro: Last Light Redux (2014)

Sortie : 28 août 2014 (France). FPS

Jeu sur PC, Mac, Linux, PlayStation 4, Xbox One, Nintendo Switch, Streaming

Player-Fou a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Fini le 24/03

Commencé hier en milieu d'après midi, et fini aujourd'hui en début de soirée, autant dire que j'ai eu du mal à en décrocher ! D'ailleurs je m'en souvenais étonnamment bien mieux que je ne le pensais. M'enfin, tout ça pour dire que voilà, j'ai adoré, vraiment, même si j'ai eu quelques frustrations en cours de route, globalement j'en ressort très content et je suis très curieux de la suite, car en l'état, ce Last Light ne me semble pas en avoir besoin. Cela dit, maintenant que j'y repense, je me dis que le 2033 n'appelait pas vraiment une suite, donc bon. Enfin voilà, oui, j'ai beaucoup aimé l'aventure, j'ai notamment bien apprécié toute une certaine séquence qui m'a semblé être un hommage évident à Stalker (et je parle ici du chef-d'oeuvre d'Andreï Tarkovski), ainsi que ces quelques phases, avec les monstres, qui avaient un petit coté Aliens, clairement pas pour me déplaire ! Aussi, j'ai trouvé l'histoire bien plus intéressante que sur le 2033 (qu'il faudrait un jour que je refasse d'une seule traite histoire de), avec notamment une plus grande importance des personnages secondaires, qui sont donc ici un peu plus mémorables quand même. De même j'adhère totalement à tout le propos du jeu, tout son attirail thématique. Vraiment un excellent jeu, que je recommande vivement malgré quelques problèmes, notamment tout un passage pas loin du milieu du jeu, relativement frustrant et inintéressant. Aussi, on m'avait signalé une IA toute moisie, perso, j'ai pas spécialement trouvé que c'était un problème, après c'est peut-être juste parce que je suis nul aussi, c'est possible !

Silent Hill 2
8.6

Silent Hill 2 (2001)

Sortie : 23 novembre 2001 (France). Action-Aventure, Survival horror

Jeu sur PlayStation 2, Xbox, PC

Player-Fou a mis 10/10, l'a mis dans ses coups de cœur et a écrit une critique.

Annotation :

Re-fini le 26/03

The Legend of Zelda: Skyward Sword
7.2

The Legend of Zelda: Skyward Sword (2011)

Zeruda no densetsu: Sukaiwōdo sōdo

Sortie : 18 novembre 2011. Action-Aventure

Jeu sur Wii, Wii U

Player-Fou a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Fini le 09/04

Bon, eh bah il est pas si mal ce Zelda Skyward Sword ! Bon, c'est clairement pas mon Zelda préféré, mais finalement, c'est pas non plus celui que j'apprécie le moins. Alors oui, y a des trucs qui vont clairement pas, comme la sous-exploitation du ciel et de l'oiseau, ou encore le recyclage de certain boss (sérieusement le banni, il aurait du le rester !), sans oublier le fait que Fay (tiens c'est rigolo ça) passe l'entièreté du jeu à nous prendre par la main et nous dire quoi faire, et je pourrais rajouter la télécommande Wii qu'on est en permanence obligé de recentrer tellement que cette branlemote est mal branlée (mais là on part sur un problème de la console plus que du jeu). Tout ça là, c'est pas possible, clairement, mais à coté de ça, on a un jeu qui a un gameplay vraiment sympa, où on n'a pas le temps de s'emmerder sur les quarante heures de jeu, et qui dégage un charme réel. J'aime beaucoup l'esthétisme de ce Skyward Sword, sans parler du chara design typique d'un Zelda 3D (à savoir assez étrange hein, ne nous leurrons pas), vraiment, il y a un réel cachet, Celesbourg, la forêt, le désert, etc, vraiment, c'est plaisant à parcourir, comme je disais sur Link Between Worlds, on s'y sent bien bordel, d'autant plus que quelques musiques sont vraiment plaisantes, comme celle du village par exemple, ou encore le theme de "romance", sans oublier le theme principal du jeu, grandiloquent à souhait et qui dégage un souffle d'aventure assez balèze. Souffle que j'ai helàs trouvé relativement absent du jeu, et ça, ça par contre c'est vraiment le plus gros truc qui me chagrine sur ce Skyward Sword. C'est que j'ai, à aucun moment eu l'impression de vivre une grande aventure, et il a fallu attendre les deux dernières heures de jeu pour me dire "Woh putain, truc de fou ce qui se passe là !" Et on est pas sur un bail à la Majora's Mask, dans lequel ce "wohputain" met sa vie à débarquer, mais enclenche tout un immense mécanisme qui t'apporte un tout autre regard sur absolument tout ce que t'as fait depuis vingt heures. Ici dans Skyward Sword, on est loin du compte, très loin même, j'irais même presque jusqu'à dire que je n'ai eu aucune émotion à parcourir le jeu. Mais ça, au final, je pense que c'est pas la faute du jeu, et que je l'ai simplement découvert trop tard, en ayant déjà connaissance de tous ces moments qui auraient pu me faire dire "Woh putain !" Parce qu'il y en a des moments comme ça, c'est juste que je ne les ai pas découvert de moi-même.

Final Fantasy VII: Remake
7.5

Final Fantasy VII: Remake (2020)

Sortie : 10 avril 2020. Action, RPG

Jeu sur PlayStation 4, PlayStation 5, PC

Player-Fou a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Fini le 14/04

Alors là, je dois dire que je suis bien emmerdé, parce que, à la fois y a des trucs qui m'ont réellement gavés tout au long de ce Final Fantasy VII Remake, des trucs normalement rédhibitoires, alors que d'un autre côté, le niveau de satisfaction global que m'a apporté ce con de jeu est tellement immense, que là, comme ça, je sais pas trop où me positionner. Là, aujourd'hui, je pars sur un 8+/10, mais c'est totalement susceptible d'évoluer dans les semaines et mois à venir. Disons que pour peu qu'on accepte qu'on ne pourra pas visiter Midgar comme un Open World, le jeu envoie quand même du bon gros pâté de savoie par cageots entiers, mais des fois tu sais pas pourquoi, caché au milieu de tes pots de pâté se trouve une boîte de purée carotte-broccoli-chou de bruxelles, qu'on t'oblige à t'enfiler si tu veux retourner au pâté. Alors je sais que ma comparaison culinaire est ptet pas terrible, mais ça correspond finalement plutôt pas mal à mon ressenti. Parce que y a des trucs vraiment d'un inintérêt rarement égalé sur ma PS4, je pense notamment à tout le passage avec la route effondrée, que l'on est amené à revisiter par la suite, le tout accompagné d'une musique purement atroce (alors que globalement l'OST, c'est God-Tier, vraiment, les remix sont complètement oufissimes). Bref, y a des fautes de goût des fois, des trucs incompréhensibles. Et est-ce que cela amoindri la qualité de tout le reste ? Bah je sais pas, à voir ce que j'en garde par la suite. Pour l'instant, je peux dire que j'ai vraiment adoré la quasi intégralité des combats de boss, c'est là que ce gameplay prends toute sa saveur, et là, vraiment c'est énorme, peut-être bien parmi les meilleurs boss que j'ai affronté dans ma vie de gamer. Et puis définitivement, j'adore ces personnages, c'est un tel plaisir de les voir intérragir entre eux, ça tient une énorme part dans l'intérêt global du jeu (Aerith <3), et ça n'en rend l'histoire que plus prenante. Tiens justement, sans trop en dire, l'histoire du jeu, quant à elle, est... surprenante disons, (is it Final Fantasy, or is it Twin Peaks ???) ça porte haut ses couilles surtout par rapport à l'original, et ça promet une certaine radicalité dans la suite des événements, ce qui me rend d'ailleurs extrêmement curieux et en même temps perplexe pour le deuxième épisode de ce Remake. En tout cas, la fin va faire débat, très clairement.

Wolfenstein: The New Order
7

Wolfenstein: The New Order (2014)

Sortie : 20 mai 2014. Action, FPS

Jeu sur PC, PlayStation 4, PlayStation 3, Xbox One, Xbox 360

Annotation :

Abandonné en avril

Définitivement, ce Wolfenstein The New Order n'est pas pour moi, c'est trop con et décomplexé pour se prendre au sérieux, et c'est trop sérieux pour être pleinement fun. Alors les fights sont plutôt sympathiques avec de bonnes sensations, mais là où je m'en suis arrêté le jeu ne parvenait pas assez à se renouveler pour être pleinement intéressant, n'est pas Doom qui veut. Je garde cependant un bon souvenir du prequel Old Blood, qui, me semble-t-il avait la décence de ne pas péter plus haut que son cul. Bref, c'est dommage, c'est pas fait pour moi, pas pour l'instant en tout cas, mais bon, c'est pas une merde et j'en suis pas ressorti révolté non plus. C'est pas Astral Chiant quoi ! Et je serais potentiellement prêt à tester la suite, New Colossus à petit prix, puisque Fuego m'en dit beaucoup de bien. Par contre, si tu me lis fuego, je te préviens, si jamais la suite est bidon, je te tiendrai personnellement comme responsable

Little Nightmares
7.2

Little Nightmares (2017)

Sortie : 28 avril 2017. Aventure, Plateforme

Jeu sur PlayStation 4, Nintendo Switch, Xbox One, PC

Annotation :

Laissé tombé le 20/04

Bon, eh bah tant pis, je me ferais la suite en let's play. Je n'ai véritablement qu'un seul truc à reprocher à ce Little Nightmares (auquel j'ai joué sur Switch, je tiens à le préciser), c'est ces maudits temps de chargement à la mords-moi-l'noeil. Etant donné qu'on (comprendre "je") est régulièrement amené à trépasser (soit en tombant de trop haut, soit en se faisant attraper par des antagonistes), s'il y avait bien un truc à ne pas foirer selon moi, c'est la durée des temps de chargement. Or là, à chaque fois qu'on échoue, c'est pas moins de trente secondes d'un écran noir qui vient nous punir, et quand on échoue à la chaine parce qu'on arrive pas à comprendre ce que ce con de jeu attends de nous (peut-être parce qu'on est un peu con, ne nous leurrons pas), eh bien on se retrouve d'avantage à attendre devant un temps de chargement des plus austères, qu'à réellement utiliser la manette. Et ça, je suis désolé, mais pour moi, au bout d'un moment c'est non, même si tout le reste du jeu est excellent, ce qui est le cas, en plus, ça se joue bien, l'atmosphère fonctionne, c'est scripté à l'infini, mais les scripts sont efficaces, vraiment, rien à redire, mais ces temps de chargement de l'angoisse sur Switch, c'est non, et probablement que j'aurais du le prendre sur PS4, oui, probablement.

The Count Lucanor
7.4

The Count Lucanor (2016)

Sortie : 3 mars 2016. Aventure

Jeu sur PC, Mac, Linux, PlayStation 4, Xbox One, Nintendo Switch

Player-Fou a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Fini le 20/04

Une très bonne surprise que ce Count Lucanor, il paie pas de mine au premier abord, avec son univers pixel-art mignon générique au possible, mais les choses deviennent rapidement toute-autres. Se dégage de ce jeu une belle atmosphère de conte de fée qui serait pas passé à la moulinette Disney. C'est à la fois très enfantin, et très violent, et perturbant comme pouvaient l'être certain contes tels que le petit chaperon rouge, ou encore Hansel et Gretel. A ce titre, l'écriture de ce Count Lucanor fonctionne vraiment et contribue de cette ambiance assez sordide qui se dégage du jeu. Et globalement, ça se joue comme un genre de mélange entre Resident Evil et MGS. Comprendre par là l'exploration d'un lieu isolé, avec des énigmes dans tous les coins et des objets à récupérer et utiliser pour avancer, le tout avec une place très importante à l'infiltration, sachant qu'il n'y a aucune arme d'aucune sorte dans tout le jeu. Alors ça se boucle rapidement, j'ai du y passer une bonne session de trois heures à peu près, mais la présence de plusieurs fins devrait motiver les joueurs frustrés d'en avoir vite fini. Comme dit, ce Count Lucanor est vraiment une très bonne surprise qui mériterait d'être plus connu. Et j'ai hâte d'essayer Yuppie Psycho, un autre jeu de Baroque Decay games.

Final Fantasy VII
8.4

Final Fantasy VII (1997)

Fainaru Fantajī Sebun

Sortie : 14 novembre 1997 (France). RPG

Jeu sur PlayStation, PC, PSP, PlayStation 3, PlayStation 4, PS Vita, Nintendo Switch, Xbox One

Player-Fou a mis 8/10.

Annotation :

ENFIN fini le 23/04

En vérité j'ai quelques scrupules à le mettre dans cette liste, du moins pour l'instant, étant donné que j'y ai joué quinze heures sur ma version switch, avant de reprendre ma run d'il y a cinq ans sur PS3, à plus ou moins une heure et demie de la fin. Mais bon, je peux enfin le dire, j'ai fini Final Fantasy VII ! Mais je compte pas en rester là, je pense bien poursuivre ma partie sur Switch afin d'avoir une vision plus globale de ce que tout ça raconte. Parce que bon, on peut dire ce qu'on veut sur ce FF7, oui, l'ambiance est dingue, les personnages sont exceptionnels, les musiques sont divines, les combats sont à la fois fun et tactiques, rien à redire là dessus. Par contre, niveau scénar, c'est franchement pas très clair, probablement en raison de la traduction toute claquée. J'espère donc que ma deuxième run me permettra de mieux apprécier toute cette histoire. Mais je suis quand même foutrement content d'avoir enfin vu défiler ce générique de fin. Mais j'avoue être un peu frustré quand je me dis que le premier FF que j'ai finis n'est ni plus ni moins que le remake de celui-ci. A deux semaines près...

Metro Exodus
7.3

Metro Exodus (2019)

Sortie : 15 février 2019. Action-Aventure, FPS

Jeu sur PC, Mac, Linux, PlayStation 4, Xbox One, PlayStation 5, Xbox Series X/S, Streaming

Player-Fou a mis 8/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Fini le 25/04

C'est une idée que je me fais ou personne n'en a effectivement quoi que ce soit à foutre de Metro Exodus ? Je me souviens il y a un an quand le jeu est sorti, la seule raison pour laquelle on en parlait c'était pour l'exclusivité de l'Epic Game Store. J'ai vraiment la sensation qu'une espèce d'indifférence générale entoure ce jeu, mais ça vient peut être de moi. Toujours est-il que s'il n'est pas parfait (optimisation PS4 clairement à revoir, bugs de scripts, de textures vides, temps de chargement infinis...), j'ai vraiment beaucoup aimé ce Metro Exodus, qui m'a un peu rappelé Spec Ops the line dans l'idée d'offrir un shooter narratif qui ambitionne de questionner le joueur sur la condition humaine. Dans spec ops, tout l'aspect action était globalement sympathique mais pas au niveau de tout ce qu'il y avait autour, eh bien là c'est pareil. Parce que si le gameplay FPS de ce Metro Exodus est sympathique mais pas incroyable, l'univers est vraiment très riche, bien construit et bien écrit. Disons les choses comme elles sont, on s'y croit, vraiment, d'autant plus que le jeu est globalement très joli (gros coup de coeur pour tout le chapitre de la Taiga, ma zone préférée du jeu, très clairement). Vraiment tout le jeu est d'une grande qualité narrative, avec des personnages clairement bien écrits, intéressants et attachants, mais quel dommage que cette fin semble en totale contradiction avec tout ce que le jeu semble construire (tant la bonne que la mauvaise fin). Alors, en creusant un peu, j'y vois effectivement un propos, mais ça semble assez forcé, après ces quinze heures où le jeu nous a laissé seul juge de ce qu'on voyait. M'enfin, ça n'empêche pas ce Metro Exodus d'être un jeu très convaincant et solide, et qui vaut le coup d'être joué, d'autant plus qu'il doit être dispo sur steam, qu'il est facilement trouvable à peu cher. Et qu'en plus il n'est pas spécialement nécessaire d'avoir fait les anciens pour parcourir ce Exodus.

Final Fantasy XV
6.5

Final Fantasy XV (2016)

Fainaru Fantajī Fifutīn

Sortie : 29 novembre 2016. Action, RPG

Jeu sur PlayStation 4, Xbox One, PC, Streaming

Player-Fou a mis 5/10 et l'a mis en envie.

Annotation :

Fini le 03/05

Un cas compliqué qu'est ce FF XV. Déjà, avant même de commencer l'aventure, celle ci nous précise qu'il s'agit d'un FF aussi bien pour les vétérans que pour les néophytes. D'emblée ça parait hyper ambitieux, et tout autant casse-gueule, et vraiment, je me demande s'il y a des vieux briscards à qui on ne l'a fait pas qui ont apprécié ce FF XV, parce que j'avoue que ça me parait compliqué tout ça. En ce qui me concerne, si j'étais assez sceptique face à la proposition du jeu, à savoir une aventure sur les routes avec un groupe de potes, je me suis finalement bien pris au jeu, et j'ai kiffé planter la tante et faire préparer de bons petits plats une fois la nuit tombée, et me taper des trajets interminables en voiture tout en scrollant sur mon téléphone devant le jeu. C'est plutôt le reste qui m'a laissé dans un certain sentiment de "boarf". Parce que si l'open world a bénéficié d'un réel soin artistique, il n'est tout simplement pas intéressant à parcourir, tant on se contente de suivre une icône sur la minimap. A côté de ça, les musiques sont globalement de qualité certaines étant même assez goldées, mais ça manque vraiment de themes mémorables et diversifiés, là comme ça, j'en compte deux, peut être trois des themes vraiment impactants. Les personnages quant à eux sont sympathiques, mais pas sensationnels non plus, disons qu'ils sont crédibles et bien écrits, mais tout ça manque profondément de charisme. Et fondamentalement mon problème c'est que tout ça se joue de façon fortement automatique quand même, les combats, les quêtes annexes, on n'y fait même pas vraiment attention, c'est pas forcément déplaisant, mais il n'y a rien de vraiment palpitant manette en main. Obligé d'attendre le dernière heure pour qu'enfin le tout se révèle intéressant à jouer. Pour conclure, petit coup de gueule, parce que moi, quand on me vend une aventure, j'attends des moments marquants en pagaille. Or, ici, je pense que le moment qui m'aura le plus marqué, se situe à l'issue du générique de fin, là, il se passe quelque chose, là y a des frissons bordel. Alors oui, il y a des moments très sympas, dans ce FFXV, mais rien de fondamentalement transcendant. Remarque, tout ça tient probablement des problèmes de rythme et de narration, dillués comme jamais, alors que pourtant l'histoire en soi est plutôt sympathique. Bref, je peux pas dire que je suis déçu, je dirais juste que, j'ai fini Final Fantasy XV, et je m'en fout. A voir ce qu'il m'en reste dans quelques mois.

Mirror's Edge
7.1

Mirror's Edge (2008)

Sortie : 14 novembre 2008 (France). Plateforme, FPS, Action

Jeu sur PlayStation 3, Xbox 360, PC, Xbox One

Player-Fou a mis 6/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.

Annotation :

Fini le 05/05

Mirror's Edge est probablement un excellent jeu à refaire, je n'en doute pas une seule seconde, par contre, pour ce qui est de la première run, je dois dire que c'est quand même laborieux. Pour être parfaitement honnête, j'adore le concept, j'adore la DA, j'adore l'héroïne, j'adore la musique, et j'adore les sensations qui se dégagent de certaines phases de jeu. Cependant, pour un jeu comme ça, basé sur le parkour urbain, en vision subjective, avec un fort accent mis sur la vitesse et la prise de décision rapide, il me semble impératif que le level design soit limpide. Ce qui n'est malheureusement pas le cas ici. Bien sûr il y a la surbrillance rouge indiquant les éléments avec lesquels il faut interagir pour avancer, le problème c'est que, par moment cette même surbrillance décide de façon purement arbitraire de te laisser te démerder sans aucune forme de procès, comme lorsque l'on doit désactiver le courant sur une clôture électrique à l'aide d'un bouton qui se fond dans le décor, alors que depuis deux heures, on avait toujours du se contenter de les contourner ces mêmes clôtures. Comme j'ai pu en discuter avec certains, dans un jeu comme ça, je trouve pas ça intéressant une seule seconde de devoir m'interrompre pour voir où est-ce que je pourrais bien passer alors qu'on me tire dessus. Alors c'est peut-être seulement parce que je suis teubé ou que je ne sais pas jouer, mais quand un jeu semble vouloir me donner la sensation d'improviser, j'apprécie pas trop qu'il me fasse canner instantanément à chaque fois que je tente un truc. Cependant, je pense que maintenant que je connais le jeu, je serais probablement bien plus à même de l'apprécier pendant une nouvelle run. Parce que quand je peste pas sur ce level design absolument pas clair par moment, nomdediou comme c'est kiffant de se balader sur les toits en bondissant dans tous les sens, c'est du petit lait ce concept ! Malheureusement, les gars se sont sentis obligés de nous foutre des gunfights mal branlés et inintéressants de bout en bout, c'est con, parce qu'en l'état, peut-être bien que j'aurai eu envie de me relancer une partie là maintenant, tout de suite, mais ces combats, c'est juste non... M'enfin, je suis maintenant curieux est un poil hypé pour Catalyst !

Mini Ninjas
6.5

Mini Ninjas (2009)

Sortie : 9 octobre 2009. Action-Aventure

Jeu sur Wii, Xbox 360, PlayStation 3, PC

Player-Fou a mis 6/10.

Annotation :

Fini le 24/05

Alors qu'il me faisait franchement de l'oeil à sa sortie, je dois dire que je suis un poil déçu maintenant que je l'ai fait, près de onze ans plus tard. Alors déjà pour commencer avec ce qui est bien, eh bah clairement ça se voit, c'est tout ronron tout kawaiidesune, qu'il s'agisse des designs, ou encore des environnements. Vraiment c'est très joli et chatoyant, et ça donne envie d'y retourner, avec ces forêts de bambou, ces rizières, ces montagnes enneigées, etc. La bande son n'est pas non plus en reste, car si elle n'est pas des plus mémorables, elle reste vraiment très plaisante à écouter manette en main, avec ces sonorités très japonisantes. Maintenant, à jouer c'est une autre histoire, car tout est globalement très basique, qu'il s'agisse des combats, de la plate-forme, ou même de l'exploration. Alors oui, c'est pour les kidz, mais bon, ça n'excuse pas tout. Par exemple, ici, on peut incarner six personnages dont trois qui sont globalement inutiles, et deux que l'on n'utilise que trèèèès occasionnellement, puisqu'ils ont tous moins de capacités que le protagoniste principal à savoir Hiro. Au moins dans les jeux lego, si on a énormément de doublons au niveau des personnages à incarner, il y a toujours des types de personnages, des qui peuvent se faufiler, des qui peuvent sauter plus haut, des qui vont pouvoir actionner des mécanismes, etc. Ici non, on peut limite faire tout le jeu sans jamais changer de personnage, et on verra absolument pas la différence. Aussi je m'attendais vraiment à vivre une aventure avec ce Mini Ninjas, sauf que pas du tout, on se contente d'enchainer les stages sans le moindre fil conducteur. C'est à dire que sur la dizaine d'heures de jeu, nos personnages vont rester muets tout du long, n’interagiront jamais entre eux, pas même dans une quelconque cutscene, puisque les seules qui sont présentes sont l'intro, la conclusion, et une mini scénette après chaque boss pour nous montrer comment le méchant est méchant. Bref grosse déception à ce niveau là, et pour être parfaitement honnête, dans un même registre, je trouve le Arthur et les Minimoys de la PS2 bien plus intéressant à jouer (oui, ce jeu existe, je suis sûr que vous n'aviez aucun doute là dessus)

Mad Max
6.7

Mad Max (2015)

Sortie : 4 septembre 2015 (France). Action, Aventure

Jeu sur Mac, PlayStation 4, Xbox One, Linux, PC

Player-Fou y joue actuellement.

Annotation :

Lâché le 28/05 après trois heures de jeu

Je savais globalement à quoi m'attendre, mais le fanboy de Fury Road que je suis ne pouvais pas ne pas au moins essayer ce Mad Max. Maintenant, c'est chose faite, j'y ai ptet bien passé trois heures, et on ne m'y reprendra pas. Alors c'est joli hein, je dis pas, pareil, l'atmosphère sonore est soignée, sauf que ce qu'on y fait dans ce con de jeu c'est juste pas intéressant. Autant j'avais kiffé l'Ombre du Mordor, qui était un de mes premiers jeux PS4, autant celui-là, quatre ans plus tard, c'est juste non. Y a rien à faire, ces open-world immenses, remplis des trois mêmes activités inintéressantes, ça m'emmerde. Et puis merde, devoir accomplir des défis à la con pour gagner de l'expérience, pour enfin avoir le blouson de Max, franchement ça se fait pas. Par ailleurs, heureusement que les phases en tuture sont plutôt réussies et efficaces, parce que les phases à pied, c'est juste oskour ! Si le sound design très brut parvient à faire croire à un semblant d'intérêt pour les combats, il n'est est rien manette en main, c'est du Batman Arkham en plus lourd, ce qui n'est pas en soi un problème, que ce soit plus mou, le hic c'est que ces combats me semblent bien trop nombreux et basiques. Et l'aspect lourd ne se limite pas aux affrontements, l'exploration c'est pareil, j'ai rarement vu une exploration à pieds aussi foireuse. J'ai rien contre ce gameplay lourd, vraiment, ça me parait cohérent dans un jeu Mad Max, mais celui-ci est clairement inadapté à sa structure, parce que ce qui marche dans L'ombre du mordor, ou dans les Batman Arkham, c'est qu'on est vif, et qu'on se déplace avec fluidité, du coup toute cette vaste étendue d'open world (ou même juste les camps ennemis) se parcoure de façon bien plus sympathique qu'ici. Alors oui, y a la voiture, de fait, très bien la voiture, le problème c'est quand on en sort de cette bagnole. Alors après, le jeu s'améliore peut-être grandement par la suite, mais j'ai aucune envie d'y passer 50h pour vérifier.

Kingdom Hearts: Final Mix
7.8

Kingdom Hearts: Final Mix (2002)

Sortie : 26 décembre 2002. Action

Jeu sur PlayStation 2, PlayStation 3, PlayStation 4, Xbox One

Annotation :

Reprise de mon ancienne partie + second rajquit après quatre heures de jeu le 03/06

Décidément, quand ça veut pas ça veut pas ! Ca faisait bien un an que j'avais lâché l'affaire, avant de relancer le 2 (que j'ai vite lâché aussi loul). Mais depuis plusieurs semaines, je n'arrivais plus à savoir pourquoi j'avais rajquit ce Kingdom Hearts 1, j'ai donc voulu le relancer, pour vraiment le finir quoi. Eh bah non, désolé pour les fans c'est juste de la bouse. Aucun level design, des mondes ridicules, et surtout une maniabilité totalement à chier, avec notamment cette caméra qui fait absolument n'imp. Alors je sais pas, peut-être qu'à l'époque, c'était un truc de fou, mais en l'état, aujourd'hui, c'est juste un calvaire, tu comprends rien à ce qui se passe, tu bourres la touche d'attaque en attendant que ton healer soit KO pour le soigner. Peut-être aussi que j'ai rien compris, c'est possible aussi, mais l'histoire n'est pas suffisamment intéressante (pour pas dire qu'elle est absolument inintéressante) pour que je persiste. Après, je vais quand même persévérer dans la saga avec le 2 et BbS, mais KH1, doux Jésus, plus jamais ça !

Animal Crossing: New Horizons
7.4

Animal Crossing: New Horizons (2020)

Atsumare Dōbutsu no Mori

Sortie : 20 mars 2020. Simulation de vie

Jeu sur Nintendo Switch

Annotation :

Rendu à son propriétaire le 14/06 après plus de 30h de jeu

J'avoue que j'ai un peu de mal à voir l'intérêt personnellement. Alors ouais c'est tout ronron, tout pépère, on s'y sent bien, mais perso, je trouve un Stardew Valley bieeeeen plus intéressant et abouti sur plus ou moins tous les points. Et personnellement je trouve ça assez bizarre que ce jeu vendu 60 balles semble moins ambitieux qu'un jeu en pixel-art dispo à 15 balles sur tous les supports, et encore, je suis quasi sûr que Stardew Valley n'a rien inventé. Bref au bout d'un moment, quand je n'allume plus le jeu que pour récupérer des fossiles pour le musée (clairement le meilleur truc du jeu ce musée), je pense qu'il est temps de dire que non, tout ça n'est pas des plus palpitant, et de rendre à César ce qui est à César, à savoir son jeu.

Siren: Blood Curse
6.9

Siren: Blood Curse (2008)

Sortie : 29 octobre 2008 (France). Action-Aventure, Survival horror

Jeu sur PlayStation 3

Player-Fou y joue actuellement.

Annotation :

Jeu en cours, possiblement en suspend, à voir

Bon, j'écris cet avis alors que je suis à l'épisode 7 sur 12, et je pense encore le continuer, et si jamais j'en viens à bout, je ré-écrirais ce texte à ce moment là en conséquence. En tout cas, bien étrange jeu que ce Siren Blood Curse, aussi fascinant qu'exaspérant. Disons que c'est un jeu relativement déplaisant à parcourir, avec son gameplay qu'on croirait issu de Resident Evil 4, sa luminosité qui semble réduite au minimum syndical, sans oublier que tout ça me semble techniquement assez moche, ou en tout cas, ça manque clairement de finesse quand on y voit, et j'ajoute à cela le fait que l'écran se coupe en deux verticalement dès qu'un ennemi nous a pris en grippe, ainsi que la narration absolument éclatée, et donc incompréhensible, et on a les conditions idéales pour jeter la manette sur la télé en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Oui, mais. Parce qu'il y a un mais, étant donné qu'on parle quand même d'un survival horror, le champ de vision restreint, le gameplay rigide, ça me semble un peu être la base de ce type de jeux, car ces éléments peuvent clairement renforcer l'angoisse lorsqu'un streum se présente. Et en l'occurence, ce Siren Blood Curse, de ce que j'en ai fait me semble clairement plus effrayant que n'importe quel Silent Hill, c'est dire. A aucun moment on ne prend du plaisir sur ce jeu, tout est extrêmement sale, poisseux, et dérangeant dans le sens le plus primaire du terme. Oui, je trouve le jeu moche, et en soi, j'ai presque envie de dire qu'ici c'est un point positif, car il donne un aspect vraiment sale et grossier à tout le visuel du jeu, des ennemis, aux environnements, en passant par les personnages que l'on incarne. Et de même la narration totalement fragmentée participe grandement à la perte de repères que j'ai tendance à rechercher dans un jeu comme ça, parce que globalement le jeu s'amuse à nous perdre, à nous faire changer de personnage et de lieu toutes les cinq minutes, et à ellipser des moments, où on aurait pu souffler cinq minutes. Non ici, on enchaine, sans vraiment comprendre ce que le jeu attend de nous, et on n'a jamais le temps de se poser cinq minutes pour reprendre son souffle. En fait, c'est con, mais j'ai l'impression que ce Siren Blood Curse, c'est un peu un Silent Hill version bourrin hardcore qui ne s'intéresserait pas à la psyché de ses persos, mais qui préférerait nous mener dans un rollercoaster de fou pendant une huitaine d'heures.

Pokémon : L'île solitaire de l'Armure
5.2

Pokémon : L'île solitaire de l'Armure (2020)

Pokémon: The Isle of Armor

Sortie : 17 juin 2020. Aventure, RPG

Extension sur Nintendo Switch

Player-Fou a mis 6/10.

Annotation :

Fini le 19/06

J'avoue que j'ai du mal à saisir tout le sel que semble se prendre ce DLC, perso, j'y ai passé une quinzaine d'heures à visiter cette île, à chasser du pokémon, me refaire une team, et finir "l'histoire", franchement ça me parait pas déconnant. Pour tout dire, ce premier DLC est même plus proche de ce que j'espérais du jeu de base Pokémon Epée/Bouclier, une seule zone ouverte, un système de progression plus ou moins repensé, sans dresseurs plantés comme des piquets tous les dix mètres, et dans lequel on explore et on peut un peu se perdre. Et perso je préfère payer deux DLC à 30 balles le tout, plutôt que de repasser à la caisse au prix fort dans six mois pour jouer à une update du jeu que j'ai déjà fait. Comme dit, j'ai passé une quizaine d'heures sympa à kiffer chasser du pokémon, c'est tout ce que je demandais, et c'est ce que j'ai eu. Maintenant, j'attends donc le prochain DLC.

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