2021 : Chronologie séries

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Série documentaire consacrée aux huit nations championnes du monde durant l’histoire de la World Cup de football, avec quelques intervenants prestigieux, mais très mal produite, notamment par le découpage en épisodes pour chaque pays qui fait que la plupart s’étant affronté donnent des répétitions assez fatigantes, de plus certains points marquants sont souvent éludés de manière incompréhensible. Ce qui est étrange pour un format s’affranchissant des contraintes de la télévision, il date pourtant de 2018 mais apparait comme archaïque, ce qui pouvait être passionnant se retrouve linéaire et fragmenté, sans surprise, difficile d’imaginer que les amoureux du foot puissent y trouver leur compte, de même pour les novices curieux qui risquent de s’ennuyer. En y réfléchissant tout pouvait très bien être condensé dans un doc de 2h-2h30, là il faut se manger 8-9h de programme rébarbatif, c’est trop.
Décevant.

[Janvier 2021]

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Saison 2

[Janvier 2021]

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Je ne connais pas bien Arsène Lupin, si ce n’est l’immondice avec Romain Duris, mais cette série censée rendre un hommage contemporain au personnage n’apporte rien au schmilblick, le moins qu’on puisse dire, puisqu’elle a faux sur à peu près tout, notamment sa pauvreté d’écriture, sa mise en scène lisse et molle ou encore ses allusions sociétales surlignées au Stabilo. Mais le pire reste le ton de la série, qui ne sait jamais sur quel pied danser et qui rend certaines situations totalement invraisemblables (j’ai failli arrêter le visionnage au moment de l’échange de prisonniers), je pense qu’il aurait été plus approprié de jouer la carte du burlesque pour notamment donner à Omar Sy un rôle décomplexé et extravagant, où la direction artistique pouvait suivre en proposant le cadre d’un Paris anachronique haut en couleurs. Sauf qu’en l’état la série s’attache beaucoup trop aux codes du polar sans en avoir la compétence pour les domestiquer, tout est pris au sérieux et les acteurs, Sy en tête, s’en retrouvent dépassés pour s’empêtrer dans une enquête digne de Julie Lescaut, s’en est assez exaspérant. Reste seulement le fil rouge de la manipulation du clan Pellegrini qui redonne à fin de saison un peu de peps, mais insuffisamment pour prolonger l’aventure en vue d’une éventuelle seconde salve.

[Janvier 2021]

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L’affaire de ce tueur en série sans mobile apparent, si ce n’est d’être un admirateur de Charles Manson, aurait pu être passionnante dans un format plus long et détaillé, les quatre épisodes paraissent même redondants par moment, où on passe d’un témoignage à l’autre sans grande implication, comme si la série avait été pris par le temps. En tout cas il y a un potentiel bon film a faire de cette histoire, avec le duo de flics, le meurtrier ultra violent et froid, le LA des années 80, etc..

[Janvier 2021]

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[Janvier 2021]

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[Février 2021]

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[Février 2021]

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[Février 2021]

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Un fait divers rendu populaire par la video d’une jeune femme dans l’ascenseur d’un hôtel, faisant des gestes incompréhensibles avant de disparaitre sans laisser de traces, les deux premiers épisodes arrivent à entretenir le mystère avec différentes pistes, seulement lorsque tout se resserre la série tourne en rond pour arriver à une morale complètement pétée, limite gênant tant c’est neuneu.
De passionnant à désastreux.

[Février 2021]

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Ce qui avait commencé comme une mauvais mashup de séries des 50s se termine comme une mauvaise série B des 90s..
Le petit côté Lost des premiers épisodes amènent tout de même quelque chose de troublant et mystérieux, mais trop vite débunké pour se recentrer sur la connexion à l’univers des films Marvel, qui ne m’intéresse pas du tout. Et les deux derniers sont d’un cheap atroce, à la limite du regardable; au final une série qui aurait pu se démarquer mais qui s’avoue vaincue en deux temps trois mouvements, du moins pour les non-aficionados du MCU, et ces derniers, comme moi, sont obligé de s’en foutre.

[Janvier - Mars 2021]

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[Avril 2021]

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[Mai 2021]

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Bonne petite surprise, un rise and fall plutôt classique en apparence mais excellemment porté par Ewan McGregor.

[Mai 2021]

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+1

[18 Juin 2021]

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[Juillet 2021]

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[Aout 2021]

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[Aout 2021]

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Bon sang quelle perte de temps, les séries de ce bon vieux Flanagan se suivent et se ressemblent cruellement, j’ose même penser que celle ci est pire. Pourtant les deux premiers épisodes s’engagent dans quelque chose s’apparentant au drame avec des pistes supposant le surnaturel, ce qu’on est en droit d’attendre, comme souvent tant que l’ambiance reste emprunte de mystère cela fonctionne; mais je dirais que des éléments travestissent les intentions, comme les personnages maquillés en vieux sans qu’il n’y ait de flashbacks ou une frontière étroite entre religion et secte. Le bas blesse dans l’explicatif à outrance, ne sachant plus s’arrêter tellement la série se survend avec un premier degré impossible, au bout d’un moment (plus ou moins le troisième épisode/sept) le projet s’avoue vaincu dans son camouflet horrifique, n’étant qu’un brûlot inter-religieux via une démonstration par l’absurde, en somme la cour des miracles. Du reste Flanagan s’atterrait jusque là à la caractérisation par l’image (où il est à mon sens le meilleur) et ici patauge magistralement dans un excès de palabres aux séquences interminables, tout s’étire jusqu’à en mourir d’ennui, pour en définitive ne pas raconter autre chose qu’une recette copiée à Stephen King en plus d’une sorte de filiation vampirique sophistiquée de son Doctor Sleep, sans parler du fait que tout est prévisible, rabâché et aux frontières du ringard (qui ne s’assume évidemment pas). De ce fait difficile d’en retirer du positif, hormis une entrée en matière correcte et quelques plans bien sentis, bref je ne conseille pas sauf si vous voulez goûter à une simulation netflixienne de plus de sept heures du purgatoire.

[Septembre 2021]

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Saison 3 (10 épisodes) : 7/10

[Novembre 2021]

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Une mini-série documentaire qui s’adresse prioritairement aux fans et amateurs des Beatles, sur près de 8h découpées en 3 épisodes, où Peter Jackson donne littéralement vie aux images et pistes son inédites étalées sur un mois de réunions musicales du groupe. On pourrait croire que tout est axé sur les répétitions d’un concert, ce qui est partiellement le cas, mais au delà c’est le quotidien de rockstars qui prime, voir comment fonctionne leur alchimie et les particularités de chacun, remarquer le leadership alterné entre McCartney et Lennon, Ringo effacé et les envies d’ailleurs de George Harrison. Le spectateur est ici privilégié d’assister à la magie qui s’opère, de part la musique, les pitreries complices, les précieuses confidences, le tout orchestré par le montage de Jackson qui rend limite un biopic sur les Beatles avec.. les vrais Beatles, le résultat est fascinant par son côté inédit, propre visuellement et rythmé tel un objet cinéma. Le climax étant ce concert iconique sur le toit de leur studio à Londres en janvier 69, leur dernier, se déroulant peu ou proue en temps réel avec une tension qui s’invite par la police venant l’interrompre, le moment est particulièrement génial tant on se croirait devant un véritable film.
Boulot titanesque de Peter Jackson a qui on pardonnerait presque son affreux Hobbit 3.

[Novembre-Décembre 2021]

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[Décembre 2021]

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[Décembre 2021]